SOMMAIRE
I – MES APPROCHES THÉRAPEUTIQUES
1 – LA PSYCHANALYSE ET LA PSYCHOTHÉRAPIE ANALYTIQUE
1.1 – HISTOIRE DE LA PSYCHANALYSE
1.2 – QU’EST CE QU’UNE ANALYSE ?
2 – LA PSYCHOSOMATIQUE RELATIONNELLE
2.1 – HISTOIRE DE LA PSYCHOSOMATIQUE RELATIONNELLE
2.2 – QU’EST-CE QUE LA PSYCHOSOMATIQUE RELATIONNELLE ?
3 – L’ANALYSE TRANSGÉNÉRATIONNELLE (ATG)
3.2 – QU’EST-CE QU’UNE ANALYSE TRANSGÉNÉRATIONNELLE ?
3.2.1 – Les addictions, les troubles du comportement alimentaire,
l’alcoolisme, la drogue, le tabagisme
3.2.2 – Le poids des secrets et des traumas du passé
4.1 – QU’EST-CE-QUE PSYCH-K® ?
4.2 – QUELS BIENFAITS AVEC PSYCH-K® ET POUR QUI ?
4.2.2 Comprendre notre vie intérieure
4.3 – LA MÉTHODE PSYCH-K® EN DÉTAILS
4.3.1 Comment fonctionne PSYCH-K® ?
4.3.2 De nombreuses recherches scientifiques prouvent les effets bénéfiques de Psych-K
4.3.3 Comment se passe une session PSYCH-K® ?
4.3.3.B LES PROTOCOLES PSYCH-K®
4.3.3.C DURÉE D’UNE SESSION PSYCH-K®
5.1 – HISTOIRE DE LA SEXOTHÉRAPIE CLINIQUE
5.2 – QU’EST-CE QUE LA SEXOTHÉRAPIE CLINIQUE ?
5.3 – POURQUOI CONSULTER UN SEXOTHÉRAPEUTE ?
5.3.1 – Qui peut consulter un Sexothérapeute ?
5.3.2 – Quelles problématiques sont abordées en sexothérapie ?
b – TROUBLES LIÉS À LA SEXUALITÉ DU COUPLE ET AU RELATIONNEL
6.1 – DÉFINITION ET HISTOIRE DE LA SOPHROLOGIE
6.2 – QU’EST-CE QUE LA SOPHROLOGIE ?
6.2.1 – La sophrologie suit trois principes fondamentaux
6.2.2 – Objectif en sophrologie
II – CONSULTER POURQUOI ET DANS QUEL BUT ?
1 – CONSULTER POUR QUELS MOTIFS ?
1.1 – CRISES RELATIVES AUX CHANGEMENTS DE VIE
1.2 – MAL ÊTRE PASSAGER OU PROFOND
1.4 – LES RUPTURES ET DEUILS IMPOSÉS PAR LA VIE
2 – DURÉE & OBJECTIF D’UNE THÉRAPIE

I – MES APPROCHES THÉRAPEUTIQUES :
Il me paraît essentiel d’avoir différents outils à proposer afin de respecter le rythme, les besoins et les désirs propres à chacun.
1 – LA PSYCHANALYSE ET LA PSYCHOTHÉRAPIE ANALYTIQUE :

1.1 – HISTOIRE DE LA PSYCHANALYSE
La psychanalyse a été découverte et mise en place par S.Freud mais a fortement évolué avec des influences humanistes telles que l’école anglaise (D.Winnicott, J.Bowlby avec la théorie de l’attachement…) et des psychanalystes qui ont redonné au corps, sa place dans la cure (D.Anzieu avec le ‘Moi peau’, J.McDougall, S.Marinopoulos, F.Coblence, M.Corcos, H.Boukhobza …).
1.2 – QU’EST CE QU’UNE ANALYSE ?
Une analyse est une exploration intérieure, pour aller à la rencontre de soi, enlever ses masques et se libérer de ses entraves.
Elle prend en considération nos parties ‘obscures’, c’est-à-dire ce qui vient de notre inconscient ; ce dernier se révèle par le biais de nos rêves, de nos lapsus, actes manqués, symptômes…
Une analyse demande du temps, tout comme la nature ne s’épanouit pas en un seul jour…

A chacun de respecter sa temporalité, son espace…
Le but au départ, n’est pas de s’attaquer au symptôme car aussi gênant soit-il, s’il existe c’est pour protéger la personne de quelque chose qui l’angoisse et qu’elle ne parvient pas encore à conscientiser.
L’intérêt d’une analyse est qu’elle ne soigne pas qu’en surface, elle creuse en nous pour trouver l’origine de nos souffrances et nous aider à nous en délivrer.
Une analyse ou psychothérapie analytique ne cherche pas à ce que la personne adapte son comportement à une ‘norme’ ; elle l’autorise au contraire, à s’accepter telle qu’elle est, dans la richesse de ses différences.

NB : AUCUNE THÉRAPIE NE SAURAIT SE SUBSTITUER À UN TRAITEMENT MÉDICAL.
ELLE SERA EN REVANCHE, UN EXCELLENT COMPLÉMENT A CELUI-CI.
Le psychanalyste A.Green déclarait que :
« l’expression la plus intime de la subjectivité a besoin de son retentissement sur un autre pour recevoir son sens. »
Ce qui signifie que dans la verbalisation de ses ressentis, soutenu par la présence d’un autre (le psy) qui l’écoute et accueille ses émotions, le patient qui souffre, chemine vers ce qu’il est et donne du sens à ce qu’il vit et éprouve.
Le psy est comme un miroir où se reflète ce qui encombre le corps et la pensée de l’analysant.
Comme l’écrivait le philosophe indien J. Krishnamurti :
« Les relations sont sûrement le miroir dans lequel on se découvre soi-même »
On se construit dans et par la relation, tout comme le nourrisson se structure en présence d’une mère attentionnée qui sait doser sa présence, ses absences et son amour pour l’aider à devenir un futur adulte indépendant et bien dans sa peau.
Ainsi, C.Rogers, spécialiste de la relation d’aide, confirme : C’est la relation qui est transformatrice.
Progressivement, l’être se libère de ce qui pèse sur lui et le bloque afin de devenir sujet (sa subjectivité), acteur de sa vie, de ses actes et pensées.
W. Bion rappelle que « savoir par intuition » en psychanalyse correspond à « voir », « toucher », « sentir » et « entendre » en médecine. La relation thérapeutique serait un processus circulaire d’influence réciproque entre deux êtres humains : même le psy est impacté et évolue avec chacun de ses patients.
La thérapie est la rencontre humaine de deux inconscients.
Portée par un cadre contenant et sécurisant, elle offre des changements structurants
à notre construction psychique.


2.1 – HISTOIRE DE LA PSYCHOSOMATIQUE RELATIONNELLE
La psychosomatique relationnelle s’est développée à partir de la théorie relationnelle élaborée par le Professeur Sami-Ali fondée sur les travaux de W. R. Winnicott et des chercheurs de l’école de Palo-Alto.
Elle tire ses origines des travaux d’éminents psychanalystes tels que W. R. Bion ou de D.W Winnicott et s’appuie sur leurs apports pour conceptualiser l’espace relationnel.
Elle continue à s’enrichir des travaux d’autres psychanalystes : Didier Anzieu, Serge Tisseron, René Roussillon etc.
La psychosomatique relationnelle enseignée au CRESMEP (Centre de Psychosomatique Relationnelle de Montpellier) entretient un échange riche et soutenu avec les psychanalystes humanistes de l’IFAPP (Institut de Formation à la Psychothérapie et la Psychanalyse).
2.2 – QU’EST-CE QUE LA PSYCHOSOMATIQUE RELATIONNELLE ?
C’est une pratique qui intègre le psychique et le somatique dans une conception globale de l’homme.
La pathologie, qu’elle soit mentale, organique ou fonctionnelle,
apparaît toujours dans une situation relationnelle.
En articulation avec la théorie relationnelle, les concepts de l’Approche Centrée sur la Personne élaborés par Carl Rogers, sont en plein accord avec l’attitude thérapeutique des praticiens en psychosomatique relationnelle ; attitude fondée sur une vision éthique et anthropologique, qui s’inscrit dans le courant de la psychologie humaniste.
L’expérience montre
que c’est à partir
des émotions échangées
dans la relation thérapeutique,
que s’effectue la restauration
du lien somato-psychique.

L’accompagnement corporel en psychosomatique relationnelle met le corps en position de médium dans la relation thérapeutique. On parle de médiation corporelle.
Il ne s’agit pas de focaliser l’attention du patient sur son corps, en l’invitant à un travail qui resterait limité à l’espace corporel mais bien de l’accompagner vers un ailleurs qui sera à établir en fonction de chaque personne et l’amènera à aménager de nouvelles modalités relationnelles.
En psychosomatique relationnelle, nous travaillons sur les images du corps, les affects refoulés, l’imaginaire, le rêve à relancer pour permettre à la personne d’utiliser toutes ses potentialités.
En psychosomatique relationnelle, la dualité corps/esprit se trouve dépassée au profit d’un abord global, relationnel d’une personne en souffrance où entre en jeu une histoire singulière
dont il s’agit de restituer la complexité.
Progressivement, la personne va réinvestir, se « (ré)approprier » son corps dans ses différents éprouvés et faire apparaître la problématique relationnelle à partir de l’organisation corporelle, en l’inscrivant dans une dynamique circulaire avec le rêve et les situations conflictuelles de son histoire.
Quand le sujet s’est réfugié dans une sphère mentale où l’activité intellectuelle prend une valeur défensive, il se coupe de son corps, de son imaginaire et perd alors des capacités essentielles pour faire face à la vie.
Cela peut être le cas par exemple en anorexie ; M.Corcos parle alors de « Corps absent ».
Cette dissociation corps-émotions peut créer un terrain plus vulnérable sur le plan psychosomatique.
La psychosomatique relationnelle
a pour objectif
de réconcilier la personne dans son unité
corps-émotions-pensée.


En se reconnectant à ses ressources individuelles et créatives (sa subjectivité), la personne trouve des issues aux conflits et impasses relationnels qui troublent son corps et son bien-être.
Comme le souligne J.Salomé dans Contes d’Errances, Contes d’Espérance (2007) :
Notre corps garde la mémoire de tout ce qui nous arrive et aussi de tout ce qui nous manque.
C’est en nous reliant à cette mémoire, que nous pouvons tenter de réconcilier notre présent avec notre passé.
La Psychosomatique Relationnelle peut ainsi se croiser avec l’analyse transgénérationnelle :
Nous pouvons hériter des mémoires de nos ancêtres et être porteurs dans nos corps et nos émotions, d’un fardeau qui ne nous appartient pas.
3 – L’ANALYSE TRANSGÉNÉRATIONNELLE (ATG)
3.1 – HISTOIRE DE L’ATG
L’analyse transgénérationnelle s’est inspirée de la psychogénéalogie. Cette dernière développée par Anne Ancelin dans les années 80, expliquait à ses étudiants en médecine et psycho, le phénomène de répétition et les liens entre les membres d’une famille.
A.Ancelin a mis en avant le syndrome d’anniversaire en tant qu’élément non élaboré dans une famille et qui se répète d’une génération à l’autre comme par loyauté inconsciente.
3.2 – QU’EST-CE QU’UNE ANALYSE TRANSGÉNÉRATIONNELLE ?
L’ATG prend en compte l’histoire du patient dans son intégralité, en lien avec l’histoire de sa famille, de ses parents et aïeuls.
Dans toute famille,
il existe des secrets
plus ou moins importants,
pouvant peser
sur la descendance.

3.2.1 – Les addictions, les troubles du comportement alimentaire, l’alcoolisme, la drogue, le tabagisme …
Ces conduites contraignantes peuvent avoir des liens avec le transgénérationnel.
Golse souligne à la fois la transmission biologique (éventuel alcoolisme fœtal) et psychique en reprenant dans son livre Du corps à la pensée (1999), le dicton populaire : « Quand les parents boivent, les enfants trinquent ».
Le sujet ne parvenant pas à se représenter ce qu’il éprouve, est contraint de répéter compulsivement,
« à corps perdu » : il devient addict.
Le but de l’ATG
est de découvrir
avec l’analysant
comment élaborer
le traumatisme
que cette répétition
cherche à lui signifier,
afin d’apaiser
ce cercle infernal
de la dépendance.

3.2.2 – Le poids des secrets et des traumas du passé :
N.Abraham et M.Torok, dans leurs textes de psychanalyse transgénérationnelle, soutiennent que les secrets prendraient la forme de cryptes.
La crypte est ce qui n’a pas été verbalisé par honte, peur… : c’est l’impossible à dire, comme dans certaines situations particulièrement traumatisantes telles que la Shoah – (Lire ‘Un secret’ de P.Grimbert)-, la guerre, les génocides mais aussi des drames familiaux passés sous silence de génération en génération et liés à des violences, incestes, sacrifices de vie, suicides, adultère, abandons…
Des émotions ressenties au présent, viennent d’affects plus profonds, provenant de situations traumatiques non élaborées : la composante transgénérationnelle montre que les deuils inachevés des membres de notre famille ont des conséquences sur notre présent.
Cela créerait des « fantômes » qui, actifs, se manifesteraient par des symptômes et pathologies allant parfois jusqu’à la psychose.
Le deuil inachevé et l’impossible à dire des aïeuls traumatisés, est ce que S. Tisseron dénomme l’INDICIBLE.
Cette première génération d’une famille, n’a pas pu mettre de mots sur le traumatisme vécu, préférant enfouir la honte ou la tristesse, dans les tréfonds de son préconscient, installant la crypte.
Les mots buteraient sur le tragique de l’existence extrême.
L’anthropologue D. Le Breton explique : « La douleur est une radicale mise en défaut du langage ».

La seconde génération, c’est-à-dire les enfants de ceux qui ont subi ce trauma, savent qu’ils ne peuvent pas poser de questions ni parler de ce qu’ils pressentent comme un secret douloureux de leur
famille : ils sont dans l’INNOMMABLE (Tisseron).
D’après N. Rand, « les parents, oncles et tantes ou grands-parents (…) ne peuvent pas dire la vérité sur eux-mêmes, car ils sont honteux (…) Aussi les parents fonctionnent-ils souvent comme des gardiens du silence. Néanmoins, leurs enfants reçoivent inconsciemment les effets du secret ».
L’enfant intérioriserait l’affect de culpabilité ou d’angoisse qu’il détecte chez son parent.
⇒ Cette intériorisation passe par ce que S. Tisseron désigne des SUINTEMENTS.
Le sujet veut taire un secret qui l’affecte mais ses mimiques, sa voix et les émotions de son corps ‘suintent’ malgré lui : le non verbal s’exprime.

Quand la personne veut taire un secret ou ne pas montrer qu’elle est affectée, les mots ne sont pas en lien avec l’émotion exprimée par son corps.
Cette incohérence entre la parole et le comportement troublent et angoissent l’entourage.

La séparation du corps et de la parole prédisposerait aux maladies psychosomatiques, conduites à risque et troubles du comportement.
⇒ Ce serait un des RICOCHETS (Tisseron) possible des ‘fantômes actifs’ de la crypte.
Pour S. Tisseron, c’est la 3ème génération qui subirait de plein fouet les effets des non-dits car elle ignore souvent l’existence d’un secret.
⇒Elle est dans l’IMPENSABLE (Tisseron) et ne peut pas relier ses troubles et symptômes à l’éventuel secret d’un ancêtre.
L’objectif en ATG, n’est pas de trouver LA vérité mais de pouvoir :
- Accorder un pont entre passé et présent,
- Dépasser les deuils en suspens depuis des générations,
- Stopper les répétitions,
- Annuler les dettes et loyautés inconscientes,
- Mettre fin au cycle de souffrance.


PSYCH-K® est un processus de changement non invasif et interactif qui fait ses preuves depuis plus de 30 ans.
C’est une clé, (prononcer Psych-Key),qui accède en toute sécurité à votre subconscient et crée un nouveau potentiel.

PSYCH-K® est :
- Un processus simple, mais puissant, pour changer les croyances subconscientes qui s’auto-limitent et s’auto-sabotent.
- Un mélange unique de divers outils de changement, certains contemporains et d’autres anciens, issus de la recherche contemporaine en neurosciences, et d’autres plus anciens basés sur la sagesse corps-esprit.
- Une approche révolutionnaire pour faciliter le changement au niveau du subconscient, où opèrent au moins 95 % de notre conscience.
- Une méthode qui transcende les méthodes standard de visualisation, d’affirmations, de volonté et de pensée positive, particulièrement efficace dans les domaines du changement de comportement/d’habitude, du bien-être et de la réduction du stress.
Ce qui rend Psych K ® unique, ce sont les résultats rapides et fiables obtenus grâce à la puissance du subconscient (le logiciel de notre vie).
En fonction des personnes, les changements se font immédiatement, dans les heures ou les jours qui suivent les séances, là où d’autres méthodes peuvent prendre plusieurs semaines.
PSYCH-K® c’est un ensemble de protocoles appelés « Equilibrations » qui permettent une profonde transformation en établissant une communication avec votre subconscient par l’utilisation de tests musculaires.
Ces équilibrations intègrent de nouveaux objectifs de vie, des croyances soutenantes pour résoudre nos blocages, nos conditionnements inadaptés et apaiser les situations qui ont engendré un traumatisme et/ou un stress chronique.
4.2 – QUELS BIENFAITS AVEC PSYCH-K® ET POUR QUI ?
4.2.1 L’Infini des Possibles

La méthode PSYCH-K@ issue de la thérapie énergétique, ouvre sur l’infini des possibles et révèle nos forces individuelles.
Quelques exemples :
- Elle permet d’aider les étudiants à transformer leur stress ou déconcentrration aux examens pour améliorer leurs performances et résultats,

- Elle soutient les gens qui souffrent de douleurs physiques comme morales à s’apaiser rapidement pour retrouver une vie plus sereine,

- Elle accompagne les hypersensibles à mieux gérer leurs émotions pour une relation à soi et aux autres plus heureuse et harmonieuse,

- Elle offre la possibilité aux personnes qui affrontent des changements de vie (amoureux, familial, pro, etc) à faire facilement et paisiblement les meilleurs choix pour eux, en vue de trouver leur voie d’épanouissement,

- Elle accompagne les femmes et les hommes qui répètent des schémas négatifs sur le plan relationnel, à transformer leurs croyances limitantes et dépasser leurs blocages pour créer des liens sains, stimulants et bienveillants.

- Elle ravive la confiance et la motivation chez les personnes en manque d’estime de soi et en proie au doute, afin d’activer leur puissance intérieure et leur joie d’être.

Les exemples cités ci dessus ne sont qu’un panel infime de ce que le processus Psych K peut proposer.
Psych K invite à déverrouiller les innombrables portes de l’intuition, de la créativité et de la liberté en chaque individu pour bénéficier de son plein potentiel.

4.2.2 – Comprendre notre vie intérieure
Notre système de croyances s’est formé majoritairement avant l’âge de raison (+/- 7 ans) à partir de nos perceptions, nos expériences et nos héritages (mémoires cellulaires) enregistrés dans notre environnement familial et culturel.

Dans son best-seller La biologie des croyances, le Dr. Bruce Lipton explique que « nos croyances positives et négatives, non seulement impactent notre santé, mais aussi TOUS les autres aspects de notre vie » dont nos relations.
Il précise que « nos croyances agissent comme des filtres sur des lunettes, modifiant la façon dont nous voyons le monde. Et, notre biologie (organisme) s’adapte à ces croyances. »
Tout est une question de perceptions, c’est-à-dire de croyances qui ont été programmées, en nous, depuis l’enfance et sont stockées dans notre subconscient : elles déterminent notre façon de vivre, de nous considérer et de considérer le monde ( image souvent faussée de soi et des autres). Car la majeure partie de nos croyances seraient, selon le Dr Bruce Lipton, limitantes, auto-sabotantes.
Notre conscient ( qui raisonne, agit et crée) ne représente que 5% de notre conscience alors que notre subconscient ( qui apprend par répétition et contient tout notre vécu, nos expériences) en représente 95%.
Notre vie serait donc l’expression de notre subconscient plus que de notre conscient.
Et si la majorité de nos croyances sont limitantes, elles engendrent par conséquent des pensées, des comportements et des conditionnements inappropriés.

Notre corps subit ce système de perception.
Par exemple, une situation perçue comme stressante génère des émotions ressenties comme désagréables : peur, colère, tristesse, angoisse…
Le cerveau va secréter des neurotransmetteurs et hormones associés à ces émotions. Celles-ci sont transportées par le sang, dans tout notre corps. Donc l’ensemble de nos organes, cellules vont, de ce bain émotionnel, activer des réactions physiologiques (migraines, douleurs, assèchement ou transpiration, gorge nouée, rythme cardiaque accéléré…).
L’inverse est également vrai : lorsqu’on vit une situation perçue comme agréable ( joie, sérenite, amour…), le même mécanisme se produit, et nos cellules sont alors nourries “positivement” (relâchement musculaire, respiration régulée, plus d’énergie…).
Sachant cela, il est essentiel d’harmoniser l’ensemble de notre écologie intérieure
en veillant à aligner notre esprit conscient, subconscient et super-conscient.
C’est là qu’intervient PSYCH-K®.
4.2.3. Évoluer avec PSYCH-K®
En transformant nos croyances limitantes en croyances aidantes, nous accédons à plus de sérénité et de clarté, grâce à un état de conscience unifiée ( équilibre entre nos 2 hémisphères de cerveau).
Nous transformons toute forme de stress, de résistance ou de dépendance, en un état de paix, améliorant significativement notre qualité de vie et notre santé.
Tels le Phénix, nous renaissons à qui nous sommes vraiment, débarrassés de ce qui entravait notre véritable essence.

Le fait est que PSYCH-K® peut fonctionner différemment selon les personnes. Il s’agit véritablement d’un processus multifonctionnel et multidisciplinaire destiné à aider les individus à atteindre leurs objectifs dans la vie.
Entre les mains d’un individu, PSYCH-K® sert à modifier les croyances subconscientes limitantes qui empêchent l’expression de ses capacités.
Entre les mains d’un professionnel de la santé mentale, PSYCH-K® devient un complément efficace aux thérapies traditionnelles basées sur la compréhension.
Pour les personnes qui ont des problèmes de santé physique, c’est un moyen de compléter le traitement médical standard en aidant à activer les propriétés naturelles d’auto-guérison du corps.
C’est un outil efficace et sans danger qui permet de réduire le stress en provoquant un état de cerveau unifié. Il s’agit d’un état de conscience particulier qui active simultanément les deux hémisphères du cerveau pour vous permettre d’atteindre votre pleine potentialité.
L’application des principes, de la philosophie et de la méthodologie PSYCH-K® permet d’atteindre une grande variété d’objectifs, en fonction des désirs et/ou des compétences personnelles et professionnelles de chacun, pour une vie plus en conscience et plus équilibrées.
La méthode PSYCH-K®, mise au point par Rob Williams en collaboration avec le Dr Bruce Lipton, est un puissant complément à toute forme de traitement thérapeutique ou de développement personnel.
C’est une clé qui active notre puissance intérieure nécessaire à toute guérison ou transformation.
Le facilitateur ( le thérapeute qui propose le protocole psych K) met à la disposition du partenaire ( celui qui reçoit ce protocole ), un véritable catalyseur de ses potentialités.
PSYCH-K® est un moyen sûr et éprouvé de transformer rapidement et facilement vos perceptions subconscientes dépassées et les croyances qui nuisent à vos objectifs de vie.

Les processus de changement PSYCH-K® sont faciles à apprendre et à utiliser.
Ils vous permettent de communiquer avec votre subconscient afin de modifier les croyances qui vous limitent dans votre confiance en vous, votre santé, vos relations, tout domaine de votre vie tant personnel que professionnel.
PSYCH-K® est souvent décrit comme un processus dont les bienfaits sont à la fois psychologiques et physiques.
Bien que le terme « psych » soit souvent utilisé comme abréviation de « psychologie », dans notre cas, il s’agit d’une variante de l’orthographe du mot psyché, qui signifie « esprit » ou « âme ».
La lettre « K » représente la clé (Key) du succès durable.
L’objectif général de PSYCH-K est de vous aider à libérer votre esprit des croyances qui diminuent la reconnaissance et l’estime de vous-même. Pour accéder à une vie en consience de votre plein potentiel.
Vivre votre vie à partir de cette conscience est une étape clé vers l’objectif de réalisation de soi.
Elle optimisera votre bien-être mental, émotionnel, corporel et spirituel.
« Nous ne sommes pas des victimes de notre hérédité (de nos gènes) mais des co-créateurs de notre vie et de notre biologie »
C’est ce qu’affirme en 2006 Bruce Lipton, biologiste cellulaire de formation, mondialement reconnu pour ses recherches sur le rapport entre la science et le comportement. Il a enseigné la Biologie Cellulaire à la faculté de Médecine de l’Université du Wisconsin aux Etats-Unis.
Il est le pionnier de la nouvelle biologie (appelée Epigénétique) et nous apprend dans son livre « Biologie des croyances » que ce ne sont pas nos gènes qui contrôlent notre biologie, mais l’environnement qui influence nos cellules.
Cette découverte extraordinaire signifie qu’il est possible de changer notre corps (notre biologie) en modifiant notre façon de penser.
Notre cerveau est malléable, rien n’est figé, ni nos croyances ni nos pensées ni nos comportements.
Chaque humain possède en lui les ressources nécessaires pour créer les meilleures conditions de vie.
Bruce Lipton cite PSYCH K® comme l’une des méthodes les plus efficaces et les plus rapides actuellement pour y arriver.
Son livre a remporté le Prix du meilleur livre scientifique en 2006.

Pour en savoir plus : http://www.brucelipton.com/about-bruce/
Visitez le site officiel Psych K (en anglais) www.psych-k.com
Psych K ® est une marque de la société Myrrdyn.
PSYCH-K® est un processus unique, issu d’années de recherche sur le cerveau et de milliers de séances avec des individus et des groupes.
Il crée un « état global du cerveau » réceptif qui réduit considérablement la résistance indésirable au changement dans le subconscient.
On peut accéder au subconscient d’une manière analogue à celle d’un ordinateur personnel.
PSYCH-K® fonctionne comme une sorte de « clavier mental » : cette méthode conviviale de communication ( par le biais de tests musculaires) avec le subconscient, est simple, directe et vérifiable.
Lorsque vous apprenez à réécrire le logiciel de votre esprit, vous pouvez changer votre vie !
De nombreux articles de recherche ont été publiés sur le QEEG (outil d’évaluation pour évaluer les ondes cérébrales d’une personne) et la cartographie cérébrale effectuées par Jeffrey L. Fannin, Ph.D., directeur du Center for Cognitive Enhancement, à Glendale, AZ.
Rob Williams, initiateur du PSYCH-KMD, a cosigné les articles avec le Dr Fannin.
La recherche démontre clairement la valeur de ce que les auteurs appellent l’état de cerveau unifié et son rôle dans l’évolution de la conscience humaine.
Elle prouve que ce schéma d’ondes cérébrales bilatérales et symétriques est créé par l’utilisation du PSYCH-K®. Ses avantages sont énumérés dans les documents de recherche eux-mêmes.
Ces articles ont été publiés dans diverses publications, couvrant trois disciplines, à savoir les neurosciences, la psychothérapie et l’entreprise.
Le fait que la même recherche ait été acceptée par un échantillon aussi diversifié de publications, témoigne de l’étendue des applications et des implications de PSYCH-K®.
Publié dans CQ : CAPA Quarterly [Association de conseil et de psychothérapie de Nouvelle-Galles du Sud, août 2012].
Lors de votre session PSYCH-K®, vous définissez votre situation actuelle (ce qui vous gêne, stresse, pose problème) et ce que vous aimeriez vivre à la place ( serenite, confiance, tourner la page, faire les bons choix etc.).
Le facilitateur PSYCH-K® vous aide à identifier et à transformer les programmes subconscients qui vous empêchent d’atteindre le résultat souhaité ou vont à l’inverse de ce que vous désirez.
L’approche PSYCH-K® vous permet de communiquer directement avec votre subconscient pour modifier efficacement et en toute sécurité vos croyances limitantes ( « je me sens incapable, je n’y arrive pas, c’est plus fort que moi… »), inappropriées (comportements nous ayant protégé dans l’enfance, qui aujourd’hui, ne sont plus adaptés) et enfermantes ( schémas répétitifs, traumas …).
Pour changer vos programmes subconscients indésirables, le facilitateur PSYCH-K® travaillera avec vous en utilisant une combinaison unique de ressources comprenant, entre autres,la clarification de vos objectifs, la posture du cerveau unifié** (cf ci dessous son explication au 4.3.3.B) et le test musculaire.
Le Test Musculaire a d’abord été développé au début du XXème siècle par le Dr R.W. Lovett, chirurgien orthopédiste, afin d’évaluer les handicaps moteurs et lésions nerveuses de ses patients atteints de poliomyélite.
Dans les années 1960, les travaux de recherche et d’observation du Dr George Goodheart – chiropracteur à Détroit, lui permirent d’établir que tout stress engendre une baisse de tonus musculaire.
Le corps mémorise les moindres détails de la vie d’un individu, à un niveau conscient et inconscient.
Il est par conséquent le mieux placé pour connaître ses besoins.
Quand le corps est calme et aligné avec ce qu’on pense, dit ou fait, le flux électrique/énergétique en lui, circule de façon fluide et facile.
Au contraire, si le corps est stressé ( par une douleur, un souvenir désagréable, une situation moralement ou physiquement éprouvante), il y a comme des « «interférences » : le flux électrique du corps circule moins bien.
Le test musculaire ne teste donc pas la force du muscle mais les réactions du corps à nos émotions et vécus.
Tout déséquilibre, tout conflit et tout stress se manifestent par une faible résistance du muscle.
En effet, en cas de stress, le cerveau joue le rôle de court-circuit dans un système électrique.
Il enlève de la tension pour éviter une surchauffe.
Le muscle perd alors de sa tonicité.
Utilisé aussi en kinésilogie, le test musculaire ouvre l’accès au langage du corps et à l’inconscient pour entendre les souffrances, blocages et peurs enfouies de la personne.
Il est l’instrument dont dispose le facilitateur, pour interroger et communiquer avec le corps et donc le subconscient, qui stockent toutes les mémoires de l’individu.
Le processus est simple et efficace : le patient maintient son bras tendu et le facilitateur exerce une légère pression sur son poignet ou son avant-bras.
Le muscle maintient son tonus s’il existe une cohérence entre la fonction, l’adaptabilité et la capacité de survie de l’organisme dans son intégralité.
S’il y a un déséquilibre ( c’est à dire un stress d’ordre émotionnel, physique, mental ou nutritionnel), le tonus musculaire montrera une faiblesse.
4.3.3.B LES PROTOCOLES PSYCH-K®
On les appelle des Équilibrations ( « Balance » en anglais) car ces protocoles très précis et sécurisés créent un équilibre entre le côté gauche et le côté droit du cerveau, allouant un accès sûr et direct au subconscient pour effectuer les changements souhaités, en profondeur.
Par une équilibration PSYCH-K® , on crée un état de cerveau unifié** : les hémisphères gauche et droit du cerveau sont en communication simultanée et en parfait équilibre. Il n’y a pas de « dominance cérébrale » dont parle Bruce Lipton dans « la biologie des croyances ».

« La dominance cérébrale » signifie que les 2 hémisphères ne sont pas synchronisés.
Nous passons parfois plus dans l’hémisphère gauche, parfois plus dans le droit.
Intégrer notre vie est très difficile via la dominance cérébrale et nous conduit au stress et au déséquilibre.
Quand l’hémisphère gauche domine, toutes les choses logiques sont compréhensibles mais il n’y a pas/ peu d’émotions associées.
À l’inverse, si l’hémisphère droit domine, on est si émotionnellement impliqué que toute logique disparaît.
C’est par exemple le cas lorsqu’un étudiant qui a pourtant appris par coeur ses cours, se retrouve totalement déstabilisé devant sa feuille d’examen ou lors d’un oral.
Le côté droit emotinnel de son cerveau a pris le dessus sur le côté gauche analytique, raisonnable et de la pensée en mots.
L’état unifié du cerveau maximise et optimise votre potentiel de réponse aux différents défis et situations de votre vie.
Il est idéal pour reprogrammer l’esprit subconscient avec de nouvelles croyances qui soutiennent vos objectifs au lieu de les entraver.
4.3.3.C DURÉE D’UNE SESSION PSYCH-K®
La durée moyenne d’une session est d’une heure, mais elle peut varier d’un facilitateur PSYCH-K® à l’autre. Il faudra parfois 1h30 pour prendre le temps d’échanger, notamment lors des 1eres sessions.
Il peut être possible de travailler sur plusieurs problèmes au cours d’une même session.
Les sessions PSYCH-K® peuvent être animées en personne, en visio ou par téléphone : elles ont toutes la même efficacité.
Pour les sessions par visio ou téléphone, les facilitateurs PSYCH-K® figurant sur la liste des facilitateurs préférés PSYCH-K® sont formés pour utiliser un processus appelé la Subrogation permettant de réaliser le test musculaire à distance.
En partenariat avec un facilitateur, l’approche PSYCH-K® honore le pouvoir et la responsabilité de l’individu dans les changements qu’il recherche.
Le but est de faciliter la capacité d’évolution et de puissance intérieure de la personne pour qu’elle trouve la « paix » qui manque à sa vie dont parle le livre de Robert Williams, créateur de PSYCH-K® :
« The missing piece Peace in your Life ».

Le processus PSYCH-K® a pour vocation de transformer, au niveau du subconscient, les croyances limitantes, en vue de révéler un nouveau potentiel.
Il n’est pas conçu pour établir un diagnostic médical ni se substituer au traitement donné par votre médecin.
5 – LA SEXOTHÉRAPIE CLINIQUE
5.1 – HISTOIRE DE LA SEXOTHÉRAPIE CLINIQUE
La sexothérapie est une science jeune, les premiers jalons sérieux en ont été posés à la fin du XIXe siècle. Il y a eu de nombreux précurseurs dont Sigmund Freud avec son ouvrage Trois essais sur la théorie de la sexualité, publié en 1905. Il aborde le psychisme humain avec une évolution parallèle entre nos zones érogènes et notre construction psychique. Ce qui montre que tout est relié : corps, pensée, émotions.
Il y a eu aussi la création de l’Institut de sexologie de Berlin en 1919 (Magnus Hirschfeld), puis avec la Masters and Johnson Clinic à Saint-Louis dans le Missouri, à la fin des années 50.
La sexothérapie clinique est actuellement en pleine expansion, avec une meilleure connaissance du corps humain, du psychisme et aussi une plus grande ouverture des esprits quant à la sexualité.
Dans un premier temps, les pionniers de la sexologie clinique, formés à la médecine, à la psychologie, la psychothérapie ou la psychanalyse, ont proposé une évaluation des composantes de la sexualité humaine à partir de leur système de référence habituel.
Chacun a ainsi développé, selon sa formation d’origine, toutes sortes d’explications différentes pour les troubles sexuels.
En résumé, le médecin voyait essentiellement les difficultés sexuelles comme liées à un problème médical, et le psychologue les comprenait généralement comme intégrées à des troubles psychologiques.
À l’évidence, la fonction sexuelle se compose de diverses dimensions (biologique, psychologique, couple, etc.) qui interagissent entre elles et influent dans le fonctionnement sexuel de l’individu.
5.2 – QU’EST-CE QUE LA SEXOTHERAPIE CLINIQUE ?
La sexualité peut être source de frustration, de doute, voire d’angoisse tant sur le plan individuel
que dans le couple.

En sexothérapie, nous abordons tout trouble sexuel masculin comme féminin afin de trouver des solutions aux blocages vécus, à la perte de désir ou de plaisir, à la gestion de douleurs/ malaises physiques et de leurs conséquences émotionnelles et relationnelles.
La sexothérapie prend en considération le corps mais aussi la complexité de la dimension sexuelle avec sa composante relationnelle, en lien avec les vécus de chacun, le contexte dont certains évènements majeurs pouvant être déstabilisants (grossesse, adultère, rupture, parcours difficiles en PMA, FIV…).
AVANT D’ENTREPRENDRE UNE THÉRAPIE,
IL PEUT ÊTRE NÉCESSAIRE D’ÉTABLIR
UN BILAN MÉDICAL :
CECI EN VUE D’ÉCARTER UNE PATHOLOGIE JUSQU’ALORS PASSÉE INAPERÇUE,
POUVANT ÊTRE LA CAUSE DE LA DIFFICULTÉ SEXUELLE
POUR LAQUELLE ON CONSULTE.
5.3 POURQUOI CONSULTER UN SEXOTHÉRAPEUTE ?
Le sexothérapeute clinicien ne juge pas : il explique, guide, informe et accompagne.
Il transcende les tabous, aide l’individu ou les couples en difficultés à retrouver le plaisir des sens et d’un corps qui les dérange ou semble les « trahir ».

5.3.1 – Qui peut consulter un Sexothérapeute ?
Toute personne qui se trouve en difficulté dans sa vie affective, relationnelle et sexuelle.

VOUS POUVEZ PARLER À VOTRE SEXOLOGUE EN TOUTE SÉCURITÉ
ET CONFIDENTIALITÉ, SANS TABOU,
DE CE QUI IMPACTE VOTRE VIE INTIME D’HOMME OU DE FEMME, INDIVIDUELLEMENT OU EN COUPLE, QUEL QUE SOIT VOTRE AGE,
VOTRE CULTURE ET VOS PRÉFÉRENCES SEXUELLES.



a – TROUBLES INDIVIDUELS
- Difficultés érectiles
- Éjaculation précoce
- Perte ou baisse de désir
- Perte de plaisir, anorgasmie

- Difficulté avec l’image de son corps,
manque de confiance en soi

- Non acceptation de sa sexualité et de son corps (homosexualité non admise par soi ou l’entourage, transidentité de genre etc.)

- Dyspareunie : douleurs lors des rapports sexuels (par exemple dans l’endométriose : 25 à 40% des femmes souffrent lors des rapports)

- Peur ou impossibilité de pénétration (vaginisme : contraction involontaire des muscles du plancher pelvien bloquant l’accès au vagin)
- Expérience sexuelle traumatisante (première fois ratée ou pénible, inceste, viols…)

« Quand soudain deux désirs
rient ensemble, les étoiles frémissent et l’air s’embrase et s’illumine
pour laisser plus d’espace à la vie »
J.Salomé
- « Routine» : manque de place pour la vie sexuelle du couple, la séduction
- Sexualité pendant la grossesse et/ou après l’arrivée d’un enfant
- Baisse de libido

- Désir de maternité /
paternité

- Problèmes d’infertilité :
parcours du ‘combattant’ FIV/PMA
- Deuil d’une fausse couche
- Accepter sa stérilité

- Peur de la grossesse
- Déni de grossesse
- Peur de l’accouchement
- Peur de devenir parent
- Infidélité, Adultère
- Problèmes de communication
- Jalousie, Amour « passionnel »

6 – LA SOPHROLOGIE
6.1- DÉFINITION ET HISTOIRE DE LA SOPHROLOGIE
La Sophrologie a été créée en 1960.
Cette science étudie la conscience humaine, ses variations et modifications,
dans un but thérapeutique, prophylactique (qui prévient la maladie),
pédagogique, afin de permettre à l’homme d’être en harmonie mentalement,
corporellement et en juste lien avec son environnement.
Ce néologisme a été formé sur trois racines grecques :
SOS : équilibre, harmonie, mais aussi “sain”, exempt de maladies,
PHREN : cerveau, esprit, conscience,
LOGOS : discours, méthode, étude.
Une autre origine est celle de « Sophia » qui signifie sage, modéré, de bon sens…

Dans les premiers temps, la sophrologie s’est largement répandue dans les milieux médicaux (dentisterie, stomatologie, cardiologie, gynécologie, psychiatrie etc.) comme méthode complémentaire à la spécialité du praticien.
Elle a gagné ensuite le milieu paramédical : psychologues, infirmiers, kinésithérapeutes l’ont adaptée en fonction de leurs différentes professionnalités. Elle s’est révélée alors comme une méthode d’accompagnement extrêmement efficace s’appuyant sur la notion de Conscience et la phénoménologie.
La FEPS (Fédération des Ecoles professionnelles de Sophrologie) garantit des formations sérieuses et un code de déontologie permettant une pratique bienveillante et adaptée de la sophrologie.
6.2- QU’EST-CE QUE LA SOPHROLOGIE ?
La sophrologie est trop souvent vue comme une méthode de relaxation destinée à faire des visualisations. C’est loin de n’être que cela et cette pratique n’est pas exhaustive de la cinquantaine de méthodes que compose l’ensemble des techniques.
Les « relaxations dynamiques »
qui se pratiquent debout et assis,
offrent des potentialités applicables
à toutes les professions, tous les âges
et conditions physiques.

6.2.1 – La sophrologie suit trois principes fondamentaux :
- Trouver notre place, sentir les limites de notre corps, accueillir notre rythme propre souvent mis à mal
(« métro, boulot, dodo » …) : apprendre, comme dans la respiration, à faire des pauses « à vide » nécessaires dans nos plannings en « trop plein », surchargés.

« Technique de Respiration Alternée »
pour aider à gérer son stress,
retrouver une concentration
et vitalité en douceur.
- Développer un schéma corporel comme réalité vécue pour habiter véritablement notre corps avec ses « défauts » et troubles et (re)conquérir une harmonie physique et par extension, mentale.
Nous avons tous une représentation de notre corps, c’est-à-dire une image fantasmatique de celui-ci et non pas objective : le but est de réconcilier notre image « imaginaire » avec notre réalité physique pour mieux vivre notre corporalité.
- Utiliser le principe d’action positive pour développer les « vécus positifs dynamiques » du passé, du présent et du futur et modifier notre perception des événements.

La pratique de la sophrologie est avant tout, un projet d’autonomisation de l’être, une façon souple de l’aider à s’ancrer, se redresser, à faire face et se tenir debout.
La Sophrologie par une pratique régulière,
aide, dans toutes situations de la vie :
- À trouver le juste tonus, la juste tension,
- À apaiser et adapter sa respiration,
- À vitaliser et mieux accepter son corps,
- À donner un élan à ses projets de vie.
II – CONSULTER POURQUOI ET DANS QUEL BUT ?

La rencontre entre le thérapeute et le patient exige une implication attentive et authentique, soutenue par un cadre sécurisant et clair.
1 – CONSULTER POUR QUELS MOTIFS ?
Voici une liste non exhaustive des problématiques qui peuvent induire une détresse psychique et ou physique.
Nous pourrons les aborder ensemble, dans un esprit coopératif et de confiance, en utilisant les outils thérapeutiques adaptés
1.1 – CRISES RELATIVES AUX CHANGEMENTS DE VIE :

« Tous les changements,
même les plus souhaités
ont leur mélancolie,
car ce que nous quittons,
c’est une partie
de nous-mêmes ;
il faut mourir à une vie
pour entrer dans une autre »
A. France
- Passage de l’adolescence
- Parcours FIV/PMA
- Grossesse, Maternité, Paternité

« Une mère
ça fait ce que ça peut
ça ne peut pas tout faire
mais ça fait de son mieux » …
L. Lemay
- Parentalité
« L’éducation
consiste à comprendre
l’enfant tel qu’il est,
sans lui imposer l’image
de ce que nous pensons
qu’il devrait être »
J. Krishnamurti

- Déménagement
- Nouvel emploi ou perte d’emploi etc.
- Maladie biologique ou psychique
- Retraite, peur de vieillir,
d’être isolé(e)

1.2 – MAL ÊTRE PASSAGER OU PROFOND :
- État dépressif,
- Douleurs chroniques : Endométriose
- Addictions
- Troubles du comportement alimentaire
- Troubles de la sexualité, individuels ou du couple
- Stress Chronique
- Anxiété, hypersensibilité
- Phobies
- Affirmation de soi

1.3 – CONFLITS RELATIONNELS :
- Famille recomposée
- Problèmes de couple (jalousie, infidélité,
adultère, communication…)

- Violences physiques et/ou psychologiques. https://www.stop-violences-femmes.gouv.fr/les-violences-conjugales.html
- Dépendance affective, emprise, manipulation, abus.
http://inceste-viol-protegeons-les-enfants.psychologies.com/viol-inceste-agression-sexuelle-trouver-de-laide/
AIDES AUX VICTIMES :
En tant que victime de violences conjugales vous pouvez contacter les organismes suivants :
– 3919, service spécialisé dans les violences faites aux femmes.
– Une association du réseau France Victimes, via le numéro 116 006 victimes.
– Ou un centre d’information des droits des femmes
- Enfance en danger.
https://enfance-et-partage.org/espace-adolescents/

- Conflits au travail (relations toxiques, harcèlement moral, burn-out)

1.4 – LES RUPTURES ET DEUILS IMPOSÉS PAR LA VIE :
- Séparation, divorce…


« Pour noyer mon chagrin d’amour
combien faut-il
de larmes ?
Faut-il pleurer nuit et jour ? »
J. Daraiche
- Perte d’un être cher…


Je ne prétends pas avoir LA solution :
elle n’existe nulle part ailleurs qu’en vous,
avec vos ressources insoupçonnées, vos capacités uniques.
Je vous propose de vous accompagner,
le temps qui vous sera nécessaire,
pour chercher Ensemble,
un pas après l’autre, vos potentialités.
UN TEMPS RIEN QUE POUR VOUS,
pour que peu à peu,
vous appreniez à dépasser vos souffrances,
à surmonter vos conflits,
à trouver une issue à vos impasses …
L’écrivain Louis L’Amour déclarait :
« Le temps viendra où vous croirez que tout est fini.
C’est alors que Tout commencera … »

2 – DURÉE & OBJECTIF D’UNE THÉRAPIE
Le cheminement en thérapie pourra alterner, en fonction des besoins et attentes du patient, avec les diverses approches utilisées (sophrologie, psychothérapie/psychanalyse, sexologie clinique, analyse transgénérationnelle, psychosomatique relationnelle).
2.1 – COMBIEN DE TEMPS DURE UNE THÉRAPIE ?
La fréquence des séances se décide ensemble selon votre rythme et vos possibilités personnelles et professionnelles.
Une thérapie peut être plus ou moins brève : elle doit avant tout, respecter la cadence psychique
et de vie de chacun.
En général, une séance par semaine ou par quinzaine est un bon rythme :
cela permet de ne pas voir réapparaitre les mécanismes de défense et résistances courants en thérapie.
Chaque individu a sa temporalité et ses besoins propres : certains préféreront venir plus souvent, d’autres moins.
Nous trouverons ensemble le rythme qui vous conviendra le mieux.
Il n’existe pas de méthode ‘miracle’ telle une baguette magique
qui puisse tout régler du jour au lendemain.
En voulant aller trop vite comme dans notre société de consommation
où il n’y a plus de place pour la patience et la douceur de vivre,
on risque de se confronter rapidement à de nouveaux symptômes.
Il faut prendre le temps de se poser une fois pour toutes et de faire face progressivement à ce qui ne va pas ou plus.
Une psychothérapie, une thérapie de soutien peuvent se centrer sur un problème en particulier et se terminer lorsque celui-ci sera réglé.
Mais parfois, la demande initiale du patient qui vient consulter peut ouvrir sur d’autres problématiques plus profondes.
Si c’est son choix (car rien n’est jamais imposé, l’analysant a toujours le choix de continuer ou pas son travail intérieur), le patient peut décider de poursuivre par une analyse ou un travail plus spécifique en psychosomatique, transgénérationnel, sophrologie etc.
En ce qui concerne la sexologie, en individuel ou couple, nous nous concentrons à agir le plus rapidement possible, sur les troubles. Cela signifie que nous envisagerons 5 à 10 séances par exemple, pour voir des effets positifs.
AVOIR LE COURAGE DE VENIR EN THÉRAPIE,
DE SE FAIRE ACCOMPAGNER,
DE S’ACCORDER UN TEMPS PRÉCIEUX
POUR SOI :
C’EST FAIRE
LE 1er PAS DÉCISIF
POUR CHANGER CE QUE L’ON NE VEUT PLUS.

2.2 QUEL EST LE BUT D’UNE THÉRAPIE ?
- LIBÉRER LA PAROLE : trouver et affirmer notre voix (et voie…)
- METTRE FIN AUX TRANSMISSIONS TOXIQUES ENTRE GÉNÉRATIONS :
- Secrets et non-dits encombrants
- Drames qui se répètent
(Syndromes anniversaires) - Se délivrer de la culpabilité, de la honte et d’affects encombrants hérités de nos parents et aïeuls.
- SE RECONNECTER AU CORPS : un corps quelquefois redouté, rejeté voire haï et ressenti ‘étranger’ quand il nous « déborde » par ses sensations désagréables et/ou ses actes compulsifs.
- ÊTRE FIDÈLE À SOI, SES DÉSIRS ET BESOINS
- Devenir plus autonome afin d’aimer et de s’aimer mieux…
- Apprendre à savoir dire Non sans agressivité ni incohérence pour DIRE OUI à ce qui nous épanouit.
- RETROUVER SA JOIE INTÉRIEURE ET SA CRÉATIVITÉ

Les techniques de sophrologie et de médiation corporelle alliées à une parole ouverte et constructive en psychothérapie/psychanalyse, favorisent :
- Un retour à l’ancrage et à l’apaisement des tensions,
- L’appropriation (ou réappropriation) de sa sensorialité,
- Une pensée cohérente et posée, moins envahie par les ruminations et angoisses,
- Une relation meilleure et plus sereine à soi et aux autres.
