SOMMAIRE

I – MES APPROCHES THÉRAPEUTIQUES

1 – LA PSYCHANALYSE ET LA PSYCHOTHÉRAPIE ANALYTIQUE

1.1 – HISTOIRE DE LA PSYCHANALYSE

1.2 – QU’EST CE QU’UNE ANALYSE ?

2 – LA PSYCHOSOMATIQUE RELATIONNELLE

2.1 – HISTOIRE DE LA PSYCHOSOMATIQUE RELATIONNELLE

2.2 – QU’EST-CE QUE LA PSYCHOSOMATIQUE RELATIONNELLE ?

3 – L’ANALYSE TRANSGÉNÉRATIONNELLE (ATG)

3.1 – HISTOIRE DE L’ATG

3.2 – QU’EST-CE QU’UNE ANALYSE TRANSGÉNÉRATIONNELLE ?

3.2.1 – Les addictions, les troubles du comportement alimentaire,

     l’alcoolisme, la drogue, le tabagisme

3.2.2 – Le poids des secrets et des traumas du passé

4 – LA MÉTHODE PSYCH-K® 

4.1 – Qu’est ce que Psych K® ?

4.2 – Qui peut bénéficier de PSYCH-K® ?

4.3 – La méthode PSYCH K®

4.3.1 Comment fonctionne le PSYCH-K® ?

4.3.2 Voici quelques recherches scientifiques prouvant les effets bénéfiques de Psych-K® : 

4.3.3 Qu’est-ce qu’une équilibration PSYCH-K® ?

5 – LA SEXOTHÉRAPIE CLINIQUE

5.1 – HISTOIRE DE LA SEXOTHÉRAPIE CLINIQUE

5.2 – QU’EST-CE QUE LA SEXOTHÉRAPIE CLINIQUE ?

5.3 – POURQUOI CONSULTER UN SEXOTHÉRAPEUTE ?

5.3.1 – Qui peut consulter un Sexothérapeute ?

5.3.2 – Quelles problématiques sont abordées en sexothérapie ?

a – TROUBLES INDIVIDUELS 

b – TROUBLES LIÉS À LA SEXUALITÉ DU COUPLE ET AU RELATIONNEL

6 – LA SOPHROLOGIE

6.1 – DÉFINITION ET HISTOIRE DE LA SOPHROLOGIE

6.2 – QU’EST-CE QUE LA SOPHROLOGIE ?

6.2.1 – La sophrologie suit trois principes fondamentaux

6.2.2 – Objectif en sophrologie 

II – CONSULTER POURQUOI ET DANS QUEL BUT ?

1 – CONSULTER POUR QUELS MOTIFS ?

1.1 – CRISES RELATIVES AUX CHANGEMENTS DE VIE

1.2 – MAL ÊTRE PASSAGER OU PROFOND

1.3 – CONFLITS RELATIONNELS

1.4 – LES RUPTURES ET DEUILS IMPOSÉS PAR LA VIE

2 – DURÉE & OBJECTIF D’UNE THÉRAPIE

2.1 – COMBIEN DE TEMPS DURE UNE THÉRAPIE ?

2.2 – QUEL EST LE BUT D’UNE THÉRAPIE ?

I – MES APPROCHES THÉRAPEUTIQUES :

 
      Il me paraît essentiel d’avoir différents outils à proposer afin de respecter le rythme, les besoins et les désirs propres à chacun.

 

 

1 – LA PSYCHANALYSE ET LA PSYCHOTHÉRAPIE ANALYTIQUE :

1.1 – HISTOIRE DE LA PSYCHANALYSE

      La psychanalyse a été découverte et mise en place par S.Freud mais a fortement évolué avec des influences humanistes telles que l’école anglaise (D.Winnicott, J.Bowlby avec la théorie de l’attachement…) et des psychanalystes qui ont redonné au corps, sa place dans la cure (D.Anzieu avec le ‘Moi peau’, J.McDougall, S.Marinopoulos, F.Coblence, M.Corcos, H.Boukhobza …).

  

 

1.2 – QU’EST CE QU’UNE ANALYSE ?

      Une analyse est une exploration intérieure, pour aller à la rencontre de soi, enlever ses masques et se libérer de ses entraves.

      Elle prend en considération nos parties ‘obscures’, c’est-à-dire ce qui vient de notre inconscient ; ce dernier se révèle par le biais de nos rêves, de nos lapsus, actes manqués, symptômes…

Une analyse demande du temps, tout comme la nature ne s’épanouit pas en un seul jour…

      A chacun de respecter sa temporalité, son espace…

      Le but au départ, n’est pas de s’attaquer au symptôme car aussi gênant soit-il, s’il existe c’est pour protéger la personne de quelque chose qui l’angoisse et qu’elle ne parvient pas encore à conscientiser.

       L’intérêt d’une analyse est qu’elle ne soigne pas qu’en surface, elle creuse en nous pour trouver l’origine de nos souffrances et nous aider à nous en délivrer.

Une analyse ou psychothérapie analytique ne cherche pas à ce que la personne adapte son comportement à une ‘norme’ ; elle l’autorise au contraire, à s’accepter telle qu’elle est, dans la richesse de ses différences.

NB : AUCUNE THÉRAPIE NE SAURAIT SE SUBSTITUER À UN TRAITEMENT MÉDICAL.
ELLE SERA EN REVANCHE, UN EXCELLENT COMPLÉMENT A CELUI-CI.

      Le psychanalyste A.Green déclarait que :
« l’expression la plus intime de la subjectivité a besoin de son retentissement sur un autre pour recevoir son sens. »

      Ce qui signifie que dans la verbalisation de ses ressentis, soutenu par la présence d’un autre (le psy) qui l’écoute et accueille ses émotions, le patient qui souffre, chemine vers ce qu’il est et donne du sens à ce qu’il vit et éprouve.

      Le psy est comme un miroir où se reflète ce qui encombre le corps et la pensée de l’analysant.

      Comme l’écrivait le philosophe indien J. Krishnamurti :   

« Les relations sont sûrement le miroir dans lequel on se découvre soi-même »

          On se construit dans et par la relation, tout comme le nourrisson se structure en présence d’une mère attentionnée qui sait doser sa présence, ses absences et son amour pour l’aider à devenir un futur adulte indépendant et bien dans sa peau.

      Ainsi, C.Rogers, spécialiste de la relation d’aide, confirme : C’est la relation qui est transformatrice.

      Progressivement, l’être se libère de ce qui pèse sur lui et le bloque afin de devenir sujet (sa subjectivité), acteur de sa vie, de ses actes et pensées.

      W. Bion rappelle que « savoir par intuition » en psychanalyse correspond à « voir », « toucher », « sentir » et « entendre » en médecine. La relation thérapeutique serait un processus circulaire d’influence réciproque entre deux êtres humains : même le psy est impacté et évolue avec chacun de ses patients.

      La thérapie est la rencontre humaine de deux inconscients.

      Portée par un cadre contenant et sécurisant, elle offre des changements structurants
à notre construction psychique.

2.1 – HISTOIRE DE LA PSYCHOSOMATIQUE RELATIONNELLE

      La psychosomatique relationnelle s’est développée à partir de la théorie relationnelle élaborée par le Professeur Sami-Ali fondée sur les travaux de W. R. Winnicott et des chercheurs de l’école de Palo-Alto.

      Elle tire ses origines des travaux d’éminents psychanalystes tels que W. R. Bion ou de D.W Winnicott et s’appuie sur leurs apports pour conceptualiser l’espace relationnel.

      Elle continue à s’enrichir des travaux d’autres psychanalystes : Didier Anzieu, Serge Tisseron, René Roussillon etc.

       La psychosomatique relationnelle enseignée au CRESMEP (Centre de Psychosomatique Relationnelle de Montpellier) entretient un échange riche et soutenu avec les psychanalystes humanistes de l’IFAPP (Institut de Formation à la Psychothérapie et la Psychanalyse).

2.2 – QU’EST-CE QUE LA PSYCHOSOMATIQUE RELATIONNELLE ?

      C’est une pratique qui intègre le psychique et le somatique dans une conception globale de l’homme.

La pathologie, qu’elle soit mentale, organique ou fonctionnelle,
apparaît toujours dans une situation relationnelle.

      En articulation avec la théorie relationnelle, les concepts de l’Approche Centrée sur la Personne élaborés par Carl Rogers, sont en plein accord avec l’attitude thérapeutique des praticiens en psychosomatique relationnelle ; attitude fondée sur une vision éthique et anthropologique, qui s’inscrit dans le courant de la psychologie humaniste.

L’expérience montre
que c’est à partir
des émotions échangées
dans la relation thérapeutique,
que s’effectue la restauration
du lien somato-psychique.

      L’accompagnement corporel en psychosomatique relationnelle met le corps en position de médium dans la relation thérapeutique. On parle de médiation corporelle.

      Il ne s’agit pas de focaliser l’attention du patient sur son corps, en l’invitant à un travail qui resterait limité à l’espace corporel mais bien de l’accompagner vers un ailleurs qui sera à établir en fonction de chaque personne et l’amènera à aménager de nouvelles modalités relationnelles.

      En psychosomatique relationnelle, nous travaillons sur les images du corps, les affects refoulés, l’imaginaire, le rêve à relancer pour permettre à la personne d’utiliser toutes ses potentialités.

En psychosomatique relationnelle, la dualité corps/esprit se trouve dépassée au profit d’un abord global, relationnel d’une personne en souffrance où entre en jeu une histoire singulière
dont il s’agit de restituer la complexité.

         Progressivement, la personne va réinvestir, se « (ré)approprier » son corps dans ses différents éprouvés et faire apparaître la problématique relationnelle à partir de l’organisation corporelle, en l’inscrivant dans une dynamique circulaire avec le rêve et les situations conflictuelles de son histoire.

      Quand le sujet s’est réfugié dans une sphère mentale où l’activité intellectuelle prend une valeur défensive, il se coupe de son corps, de son imaginaire et perd alors des capacités essentielles pour faire face à la vie.

      Cela peut être le cas par exemple en anorexie ; M.Corcos parle alors de « Corps absent ».

      Cette dissociation corps-émotions peut créer un terrain plus vulnérable sur le plan psychosomatique.

La psychosomatique relationnelle
a pour objectif
de réconcilier la personne dans son unité
corps-émotions-pensée.

En se reconnectant à ses ressources individuelles et créatives (sa subjectivité), la personne trouve des issues aux conflits et impasses relationnels qui troublent son corps et son bien-être.

        Comme le souligne J.Salomé dans Contes d’Errances, Contes d’Espérance (2007) :
        Notre corps garde la mémoire de tout ce qui nous arrive et aussi de tout ce qui nous manque.

       C’est en nous reliant à cette mémoire, que nous pouvons tenter de réconcilier notre présent avec notre passé.

        La Psychosomatique Relationnelle peut ainsi se croiser avec l’analyse transgénérationnelle :
      Nous pouvons hériter des mémoires de nos ancêtres et être porteurs dans nos corps et nos émotions, d’un fardeau qui ne nous appartient pas.

3 – L’ANALYSE TRANSGÉNÉRATIONNELLE (ATG)

3.1 – HISTOIRE DE L’ATG

      L’analyse transgénérationnelle s’est inspirée de la psychogénéalogie. Cette dernière développée par Anne Ancelin dans les années 80, expliquait à ses étudiants en médecine et psycho, le phénomène de répétition et les liens entre les membres d’une famille.

      A.Ancelin a mis en avant le syndrome d’anniversaire en tant qu’élément non élaboré dans une famille et qui se répète d’une génération à l’autre comme par loyauté inconsciente.

 

 

3.2 – QU’EST-CE QU’UNE ANALYSE TRANSGÉNÉRATIONNELLE ?

      L’ATG prend en compte l’histoire du patient dans son intégralité, en lien avec l’histoire de sa famille, de ses parents et aïeuls.

Dans toute famille,
il existe des secrets
plus ou moins importants,
pouvant peser
sur la descendance.

3.2.1 – Les addictions, les troubles du comportement alimentaire, l’alcoolisme, la drogue, le tabagisme …

      Ces conduites contraignantes peuvent avoir des liens avec le transgénérationnel.

      Golse souligne à la fois la transmission biologique (éventuel alcoolisme fœtal) et psychique en reprenant dans son livre Du corps à la pensée (1999), le dicton populaire : « Quand les parents boivent, les enfants trinquent ».

      Le sujet ne parvenant pas à se représenter ce qu’il éprouve, est contraint de répéter compulsivement,
« à corps perdu »
: il devient addict.

Le but de l’ATG
est de découvrir
avec l’analysant
comment élaborer
le traumatisme
que cette répétition
cherche à lui signifier,
afin d’apaiser
ce cercle infernal
de la dépendance.

3.2.2 – Le poids des secrets et des traumas du passé :

      N.Abraham et M.Torok, dans leurs textes de psychanalyse transgénérationnelle, soutiennent que les secrets prendraient la forme de cryptes.

      La crypte est ce qui n’a pas été verbalisé par honte, peur… : c’est l’impossible à dire, comme dans certaines situations particulièrement traumatisantes telles que la Shoah – (Lire ‘Un secret’ de P.Grimbert)-, la guerre, les génocides mais aussi des drames familiaux passés sous silence de génération en génération et liés à des violences, incestes, sacrifices de vie, suicides, adultère, abandons

      Des émotions ressenties au présent, viennent d’affects plus profonds, provenant de situations traumatiques non élaborées : la composante transgénérationnelle montre que les deuils inachevés des membres de notre famille ont des conséquences sur notre présent.

      Cela créerait des « fantômes » qui, actifs, se manifesteraient par des symptômes et pathologies allant parfois jusqu’à la psychose.

       Le deuil inachevé et l’impossible à dire des aïeuls traumatisés, est ce que S. Tisseron dénomme l’INDICIBLE.

      Cette première génération d’une famille, n’a pas pu mettre de mots sur le traumatisme vécu, préférant enfouir la honte ou la tristesse, dans les tréfonds de son préconscient, installant la crypte.

      Les mots buteraient sur le tragique de l’existence extrême.

      L’anthropologue D. Le Breton explique : « La douleur est une radicale mise en défaut du langage ».

 

      La seconde génération, c’est-à-dire les enfants de ceux qui ont subi ce trauma, savent qu’ils ne peuvent pas poser de questions ni parler de ce qu’ils pressentent comme un secret douloureux de leur
famille : ils sont dans l’INNOMMABLE (Tisseron). 

      D’après N. Rand, « les parents, oncles et tantes ou grands-parents (…) ne peuvent pas dire la vérité sur eux-mêmes, car ils sont honteux (…) Aussi les parents fonctionnent-ils souvent comme des gardiens du silence. Néanmoins, leurs enfants reçoivent inconsciemment les effets du secret ».

      L’enfant intérioriserait l’affect de culpabilité ou d’angoisse qu’il détecte chez son parent.

⇒ Cette intériorisation passe par ce que S. Tisseron désigne des SUINTEMENTS.

Le sujet veut taire un secret qui l’affecte mais ses mimiques, sa voix et les émotions de son corps ‘suintent’ malgré lui : le non verbal s’exprime.

Quand la personne veut taire un secret ou ne pas montrer qu’elle est affectée, les mots ne sont pas en lien avec l’émotion exprimée par son corps.

Cette incohérence entre la parole et le comportement troublent et angoissent l’entourage.

      La séparation du corps et de la parole prédisposerait aux maladies psychosomatiques, conduites à risque et troubles du comportement.
        ⇒ Ce serait un des RICOCHETS (Tisseron) possible des ‘fantômes actifs’ de la crypte.

      Pour S. Tisseron, c’est la 3ème génération qui subirait de plein fouet les effets des non-dits car elle ignore souvent l’existence d’un secret.
       ⇒
Elle est dans l’IMPENSABLE (Tisseron) et ne peut pas relier ses troubles et symptômes à l’éventuel secret d’un ancêtre.

      L’objectif en ATG, n’est pas de trouver LA vérité mais de pouvoir :

  • Accorder un pont entre passé et présent,
  • Dépasser les deuils en suspens depuis des générations,
  • Stopper les répétitions,
  • Annuler les dettes et loyautés inconscientes,
  • Mettre fin au cycle de souffrance.

4 – LA MÉTHODE PSYCH-K® 

 

4.1 – Qu’est ce que Psych K® ?

 

        Prononcer le K selon le mot anglais Key (ki). Selon le thème du livre «  The Misssing Peace in your Life » de Robert Williams, fondateur de cette méthode novatrice. The missing peace ( la serenite qui manque ) est ce que Psych K propose de trouver ( Psych Key : La clé de votre Psychisme). 

      
          Psych K est un processus de changement non invasif et interactif qui fait ses preuves depuis plus de 30 ans. 

  1. Un processus simple, mais puissant, pour changer les croyances subconscientes qui s’auto-limitent et s’auto-sabotent.
  2. Un mélange unique de divers outils de changement, certains contemporains et d’autres anciens, issus de la recherche contemporaine en neurosciences, ainsi que de l’ancienne sagesse corps-esprit.
  3. Une approche révolutionnaire pour faciliter le changement au niveau du subconscient, où opère au moins 95 % de notre conscience.
  4. Un processus qui transcende les méthodes standard de visualisation, d’affirmations, de volonté et de pensée positive, particulièrement efficace dans les domaines du changement de comportement/d’habitude, du bien-être et de la réduction du stress.

 

 

 

4.2 – Qui peut bénéficier de PSYCH-K® ?

 

       Le fait est que PSYCH-K® peut fonctionner différemment selon les personnes.  Il s’agit véritablement d’un processus multifonctionnel et multidisciplinaire destiné à aider les individus à atteindre leurs objectifs dans la vie.

    Entre les mains d’un individu, il peut servir à transformer les croyances subconscientes limitantes qui bloquent souvent l’expression de son plein potentiel dans la vie.

       Entre les mains d’un professionnel de la santé mentale, elle devient un complément efficace aux thérapies traditionnelles basées sur la compréhension.

       Pour les personnes qui ont des problèmes de santé physique, c’est un moyen de compléter le traitement médical standard en aidant à activer les propriétés naturelles d’auto-guérison du corps.

       C’est un outil efficace et dans danger qui permet de réduire le stress en provoquant un état de cerveau unifié. Il s’agit d’un état de conscience particulier qui active simultanément les deux hémisphères du cerveau pour vous permettre d’atteindre votre pleine potentialité. 

       L’application des principes, de la philosophie et de la méthodologie PSYCH-K® permet d’atteindre une grande variété d’objectifs, en fonction des désirs personnels et/ou des compétences personnelles et professionnelles de chacun, pour une vie plus en conscience et plus harmonieuse.

 

 

4.3 – La méthode PSYCH K®

 

       PSYCH-K® est un moyen sûr et éprouvé de modifier les croyances subconscientes qui perpétuent de vieilles habitudes de pensée et de comportement que vous aimeriez changer. Les processus de changement de croyances PSYCH-K® sont faciles à apprendre et à utiliser. Ils vous permettent de communiquer avec votre subconscient afin de modifier les croyances qui limitent votre estime de soi, vos relations, vos performances professionnelles, voire votre santé physique… et bien plus encore !  PSYCH-K® est souvent décrit comme un processus dont les bienfaits sont psychologiques et physiques. Bien que le terme « psych » soit souvent utilisé comme abréviation de « psychologie », dans notre cas, il s’agit d’une variante de l’orthographe du mot psyché, qui signifie « esprit » ou « âme ». La lettre « K » représente la clé (Key) du succès durable.

       L’objectif général de PSYCH-K est de vous aider à libérer votre esprit des croyances qui limitent la reconnaissance et l’estime de vous-même. Vivre votre vie à partir de cette conscience est une étape clé vers l’objectif de réalisation de soi, et peut avoir un effet profondément positif sur votre bien-être, mentalement, émotionnellement, physiquement et spirituellement.

 

4.3.1 Comment fonctionne le PSYCH-K® ?

 

 

       PSYCH-K® est un processus unique, issu d’années de recherche sur le cerveau et de milliers de séances avec des individus et des groupes. Il crée un « état global du cerveau » réceptif qui réduit considérablement la résistance indésirable au changement dans le subconscient. On peut accéder au subconscient d’une manière analogue à celle d’un ordinateur personnel. PSYCH-K® fonctionne comme une sorte de « clavier mental » – une méthode conviviale de communication (par le biais de tests musculaires) avec le subconscient qui est simple, directe et vérifiable. Lorsque vous apprenez à réécrire le logiciel de votre esprit, vous pouvez changer votre vie !

 

Test musculaire permettant une équilibration...

4.3.2 Des recherches scientifiques sur les effets bénéfiques de Psych-K® :

 

       Trois articles de recherche ont été publiés dans des publications évaluées par des pairs, à partir de recherches sur le QEEG et la cartographie cérébrale effectuées par Jeffrey L. Fannin, Ph.D., directeur du Center for Cognitive Enhancement, à Glendale, AZ.  Rob Williams, initiateur du PSYCH-KMD, a cosigné les articles avec le Dr Fannin.

 

         Leur recherche a démontré clairement la valeur de ce que les auteurs appellent l’état de cerveau unifié et son rôle dans l’évolution de la conscience humaine.  Elle montre que ce schéma d’ondes cérébrales bilatérales et symétriques est créé par l’utilisation du PSYCH-K®. Ses avantages sont ainsi énumérés dans leurs conclusions.

         

         Le processus PSYCH-K® est conçu pour créer cet état de cerveau unifié où les hémisphères gauche et droit du cerveau sont en communication simultanée. En accédant à cette équilibration de vos hémisphères, appelée, « cerveau unifié », vous maximisez votre potentiel de réponse aux défis de la vie. Ces articles ont été publiés dans trois publications différentes, couvrant trois disciplines différentes, à savoir les neurosciences, la psychothérapie et les affaires.  Le fait que la même recherche ait été acceptée par un échantillon aussi diversifié de publications témoigne de l’étendue des applications et des implications de PSYCH-K®.

 

Publié dans CQ : CAPA Quarterly [Association de conseil et de psychothérapie de Nouvelle-Galles du Sud, août 2012].

 

 

 

4.3.3 Qu’est-ce qu’une équilibration PSYCH-K® ?

 

       Une équilibration PSYCH-K® est un processus conçu pour créer une communication équilibrée entre les deux hémisphères du cortex cérébral. Cet « état global du cerveau » est idéal pour reprogrammer l’esprit subconscient avec de nouvelles croyances qui soutiennent vos objectifs au lieu de les bloquer. 

         L’équilibration doit être suivie d’une action pour être pleinement efficace. Tout est mis en place lors du protocole. 

5 – LA SEXOTHÉRAPIE CLINIQUE

 

5.1 – HISTOIRE DE LA SEXOTHÉRAPIE CLINIQUE

       La sexothérapie est une science jeune, les premiers jalons sérieux en ont été posés à la fin du XIXe siècle. Il y a eu de nombreux précurseurs dont Sigmund Freud avec son ouvrage Trois essais sur la théorie de la sexualité, publié en 1905. Il aborde le psychisme humain avec une évolution parallèle entre nos zones érogènes et notre construction psychique. Ce qui montre que tout est relié : corps, pensée, émotions.

       Il y a eu aussi la création de l’Institut de sexologie de Berlin en 1919 (Magnus Hirschfeld), puis avec la Masters and Johnson Clinic à Saint-Louis dans le Missouri, à la fin des années 50.

     La sexothérapie clinique est actuellement en pleine expansion, avec une meilleure connaissance du corps humain, du psychisme et aussi une plus grande ouverture des esprits quant à la sexualité.

      Dans un premier temps, les pionniers de la sexologie clinique, formés à la médecine, à la psychologie, la psychothérapie ou la psychanalyse, ont proposé une évaluation des composantes de la sexualité humaine à partir de leur système de référence habituel.
      Chacun a ainsi développé, selon sa formation d’origine, toutes sortes d’explications différentes pour les troubles sexuels.

      En résumé, le médecin voyait essentiellement les difficultés sexuelles comme liées à un problème médical, et le psychologue les comprenait généralement comme intégrées à des troubles psychologiques.

     À l’évidence, la fonction sexuelle se compose de diverses dimensions (biologique, psychologique, couple, etc.) qui interagissent entre elles et influent dans le fonctionnement sexuel de l’individu.

 

 

5.2 – QU’EST-CE QUE LA SEXOTHERAPIE CLINIQUE ?

 La sexualité peut être source de frustration, de doute, voire d’angoisse tant sur le plan individuel
que dans le couple.

      En sexothérapie, nous abordons tout trouble sexuel masculin comme féminin afin de trouver des solutions aux blocages vécus, à la perte de désir ou de plaisir, à la gestion de douleurs/ malaises physiques et de leurs conséquences émotionnelles et relationnelles.

      La sexothérapie prend en considération le corps mais aussi la complexité de la dimension sexuelle avec sa composante relationnelle, en lien avec les vécus de chacun, le contexte dont certains évènements majeurs pouvant être déstabilisants (grossesse, adultère, rupture, parcours difficiles en PMA, FIV…).

AVANT D’ENTREPRENDRE UNE THÉRAPIE,
IL PEUT ÊTRE NÉCESSAIRE D’ÉTABLIR
UN BILAN MÉDICAL :
CECI EN VUE D’ÉCARTER UNE PATHOLOGIE JUSQU’ALORS PASSÉE INAPERÇUE,
POUVANT ÊTRE LA CAUSE DE LA DIFFICULTÉ SEXUELLE
POUR LAQUELLE ON CONSULTE.

5.3 POURQUOI CONSULTER UN SEXOTHÉRAPEUTE ?

       Le sexothérapeute clinicien ne juge pas : il explique, guide, informe et accompagne.

      Il transcende les tabous, aide l’individu ou les couples en difficultés à retrouver le plaisir des sens et d’un corps qui les dérange ou semble les « trahir ».

5.3.1 – Qui peut consulter un Sexothérapeute ?

      Toute personne qui se trouve en difficulté dans sa vie affective, relationnelle et sexuelle.

VOUS POUVEZ PARLER À VOTRE SEXOLOGUE EN TOUTE SÉCURITÉ
ET CONFIDENTIALITÉ, SANS TABOU
,
DE CE QUI IMPACTE VOTRE VIE INTIME D’HOMME OU DE FEMME, INDIVIDUELLEMENT OU EN COUPLE, QUEL QUE SOIT VOTRE AGE,
VOTRE CULTURE ET VOS PRÉFÉRENCES
SEXUELLES.

a – TROUBLES INDIVIDUELS 
  • Difficultés érectiles
  • Éjaculation précoce
  • Perte ou baisse de désir
  • Perte de plaisir, anorgasmie
  • Difficulté avec l’image de son corps,
    manque de confiance en soi
  • Non acceptation de sa sexualité et de son corps (homosexualité non admise par soi ou l’entourage, transidentité de genre etc.)
  • Dyspareunie : douleurs lors des rapports sexuels (par exemple dans l’endométriose : 25 à 40% des femmes souffrent lors des rapports)
  • Peur ou impossibilité de pénétration (vaginisme : contraction involontaire des muscles du plancher pelvien bloquant l’accès au vagin)
  • Expérience sexuelle traumatisante (première fois ratée ou pénible, inceste, viols…)

« Quand soudain deux désirs
rient ensemble, les étoiles frémissent et l’air s’embrase et s’illumine
pour laisser plus d’espace à la vie »

J.Salomé

  • « Routine» : manque de place pour la vie sexuelle du couple, la séduction 
  • Sexualité pendant la grossesse et/ou après l’arrivée d’un enfant
  • Baisse de libido
  • Désir de maternité /
    paternité
  • Problèmes d’infertilité :
    parcours du ‘combattant’ FIV/PMA
  • Deuil d’une fausse couche
  • Accepter sa stérilité
  • Peur de la grossesse
  • Déni de grossesse
  • Peur de l’accouchement
  • Peur de devenir parent
  • Infidélité, Adultère
  • Problèmes de communication
  • Jalousie, Amour « passionnel »

6 – LA SOPHROLOGIE

 

6.1- DÉFINITION ET HISTOIRE DE LA SOPHROLOGIE

 

      La Sophrologie a été créée en 1960.    

     Cette science étudie la conscience humaine, ses variations et modifications,
dans un but thérapeutique, prophylactique (qui prévient la maladie),
pédagogique, afin de permettre à l’homme d’être en harmonie mentalement,
corporellement et en juste lien avec son environnement
.

 

         Ce néologisme a été formé sur trois racines grecques :

SOS : équilibre, harmonie, mais aussi “sain”, exempt de maladies,

PHREN : cerveau, esprit, conscience,

LOGOS : discours, méthode, étude.

 

Une autre origine est celle de « Sophia » qui signifie sage, modéré, de bon sens…

      Dans les premiers temps, la sophrologie s’est largement répandue dans les milieux médicaux (dentisterie, stomatologie, cardiologie, gynécologie, psychiatrie etc.) comme méthode complémentaire à la spécialité du praticien.

      Elle a gagné ensuite le milieu paramédical : psychologues, infirmiers, kinésithérapeutes l’ont adaptée en fonction de leurs différentes professionnalités. Elle s’est révélée alors comme une méthode d’accompagnement extrêmement efficace s’appuyant sur la notion de Conscience et la phénoménologie.

      La FEPS (Fédération des Ecoles professionnelles de Sophrologie) garantit des formations sérieuses et un code de déontologie permettant une pratique bienveillante et adaptée de la sophrologie.

6.2- QU’EST-CE QUE LA SOPHROLOGIE ?

      La sophrologie est trop souvent vue comme une méthode de relaxation destinée à faire des visualisations. C’est loin de n’être que cela et cette pratique n’est pas exhaustive de la cinquantaine de méthodes que compose l’ensemble des techniques.

Les « relaxations dynamiques »
qui se pratiquent debout et assis,
offrent des potentialités applicables
à toutes les professions, tous les âges
et conditions physiques.

6.2.1 – La sophrologie suit trois principes fondamentaux :
  • Trouver notre place, sentir les limites de notre corps, accueillir notre rythme propre souvent mis à mal
    (« métro, boulot, dodo » …) : apprendre, comme dans la respiration, à faire des pauses « à vide » nécessaires dans nos plannings en « trop plein », surchargés.

« Technique de Respiration Alternée »
pour aider à gérer son stress,
retrouver une concentration
et vitalité en douceur.

  • Développer un schéma corporel comme réalité vécue pour habiter véritablement notre corps avec ses « défauts » et troubles et (re)conquérir une harmonie physique et par extension, mentale.

Nous avons tous une représentation de notre corps, c’est-à-dire une image fantasmatique de celui-ci et non pas objective : le but est de réconcilier notre image « imaginaire » avec notre réalité physique pour mieux vivre notre corporalité.

  • Utiliser le principe d’action positive pour développer les « vécus positifs dynamiques » du passé, du présent et du futur et modifier notre perception des événements.

      La pratique de la sophrologie est avant tout, un projet d’autonomisation de l’être, une façon souple de l’aider à s’ancrer, se redresser, à faire face et se tenir debout.

La Sophrologie par une pratique régulière,
aide, dans toutes situations de la vie :

  • À trouver le juste tonus, la juste tension,

  • À apaiser et adapter sa respiration,

  • À vitaliser et mieux accepter son corps,

  • À donner un élan à ses projets de vie.

II – CONSULTER POURQUOI ET DANS QUEL BUT ?

      La rencontre entre le thérapeute et le patient exige une implication attentive et authentique, soutenue par un cadre sécurisant et clair.

1 – CONSULTER POUR QUELS MOTIFS ?

      Voici une liste non exhaustive des problématiques qui peuvent induire une détresse psychique et ou physique.

      Nous pourrons les aborder ensemble, dans un esprit coopératif et de confiance, en utilisant les outils thérapeutiques adaptés

 

1.1 – CRISES RELATIVES AUX CHANGEMENTS DE VIE :

« Tous les changements,
même les plus souhaités
ont leur mélancolie,
car ce que nous quittons,
c’est une partie
de nous-mêmes ;
il faut mourir à une vie
pour entrer dans une autre »
A. France

  • Passage de l’adolescence
  • Parcours FIV/PMA
  • Grossesse, Maternité, Paternité

« Une mère
ça fait ce que ça peut
ça ne peut pas tout faire
mais ça fait de son mieux » …
L. Lemay

  • Parentalité

« L’éducation
consiste à comprendre
l’enfant tel qu’il est,
sans lui imposer l’image
de ce que nous pensons
qu’il devrait être »
J. Krishnamurti

  • Déménagement
  • Nouvel emploi ou perte d’emploi etc.
  • Maladie biologique ou psychique
  • Retraite, peur de vieillir,
    d’être isolé(e)

1.2 – MAL ÊTRE PASSAGER OU PROFOND :

  • État dépressif,
  • Douleurs chroniques : Endométriose
  • Addictions
  • Troubles du comportement alimentaire
  • Troubles de la sexualité, individuels ou du couple
  • Stress Chronique
  • Anxiété, hypersensibilité 
  • Phobies
  • Affirmation de soi

1.3 – CONFLITS RELATIONNELS :

  • Famille recomposée
  • Problèmes de couple (jalousie, infidélité,
    adultère, communication…)

AIDES AUX VICTIMES :

En tant que victime de violences conjugales vous pouvez contacter les organismes suivants :
3919, service spécialisé dans les violences faites aux femmes.
– Une association du réseau France Victimes, via le numéro 116 006 victimes.
– Ou un centre d’information des droits des femmes

  • Conflits au travail (relations toxiques, harcèlement moral, burn-out)

1.4 – LES RUPTURES ET DEUILS IMPOSÉS PAR LA VIE :

  • Séparation, divorce…

« Pour noyer mon chagrin d’amour
combien faut-il
de larmes ?
Faut-il pleurer nuit et jour ? »
J. Daraiche

  • Infertilité, fausses couches
  • Perte d’un être cher…

Je ne prétends pas avoir LA solution :
elle n’existe nulle part ailleurs qu’en vous,
avec vos ressources insoupçonnées, vos capacités uniques.

Je vous propose de vous accompagner,
le temps qui vous sera nécessaire,
pour chercher Ensemble,
un pas après l’autre, vos potentialités.

UN TEMPS RIEN QUE POUR VOUS,
pour que peu à peu,
vous appreniez à dépasser vos souffrances,
à surmonter vos conflits,
à trouver une issue à vos impasses …

L’écrivain Louis L’Amour déclarait :

« Le temps viendra où vous croirez que tout est fini.
C’est alors que Tout commencera … »

2 – DURÉE & OBJECTIF D’UNE THÉRAPIE

      Le cheminement en thérapie pourra alterner, en fonction des besoins et attentes du patient, avec les diverses approches utilisées (sophrologie, psychothérapie/psychanalyse, sexologie clinique, analyse transgénérationnelle, psychosomatique relationnelle).

 

 

2.1 – COMBIEN DE TEMPS DURE UNE THÉRAPIE ?

     La fréquence des séances se décide ensemble selon votre rythme et vos possibilités personnelles et professionnelles.

      Une thérapie peut être plus ou moins brève : elle doit avant tout, respecter la cadence psychique
et de vie de chacun.

      En général, une séance par semaine ou par quinzaine est un bon rythme :
      cela permet de ne pas voir réapparaitre les mécanismes de défense et résistances
courants en thérapie.

      Chaque individu a sa temporalité et ses besoins propres : certains préféreront venir plus souvent, d’autres moins.

      Nous trouverons ensemble le rythme qui vous conviendra le mieux.

Il n’existe pas de méthode ‘miracle’ telle une baguette magique
qui puisse tout régler du jour au lendemain.

En voulant aller trop vite comme dans notre société de consommation
où il n’y a plus de place pour la patience et la douceur de vivre,
on risque de se confronter rapidement à de nouveaux symptômes.

Il faut prendre le temps de se poser une fois pour toutes et de faire face progressivement à ce qui ne va pas ou plus.

      Une psychothérapie, une thérapie de soutien peuvent se centrer sur un problème en particulier et se terminer lorsque celui-ci sera réglé.

      Mais parfois, la demande initiale du patient qui vient consulter peut ouvrir sur d’autres problématiques plus profondes.

      Si c’est son choix (car rien n’est jamais imposé, l’analysant a toujours le choix de continuer ou pas son travail intérieur), le patient peut décider de poursuivre par une analyse ou un travail plus spécifique en psychosomatique, transgénérationnel, sophrologie etc.

      En ce qui concerne la sexologie, en individuel ou couple, nous nous concentrons à agir le plus rapidement possible, sur les troubles. Cela signifie que nous envisagerons 5 à 10 séances par exemple, pour voir des effets positifs.

AVOIR LE COURAGE DE VENIR EN THÉRAPIE,

DE SE FAIRE ACCOMPAGNER,

DE S’ACCORDER UN TEMPS PRÉCIEUX
POUR SOI :

C’EST FAIRE
LE 1er PAS DÉCISIF

POUR CHANGER CE QUE L’ON NE VEUT PLUS.

2.2 QUEL EST LE BUT D’UNE THÉRAPIE ?

  • LIBÉRER LA PAROLE : trouver et affirmer notre voix (et voie…)
  • METTRE FIN AUX TRANSMISSIONS TOXIQUES ENTRE GÉNÉRATIONS :
    • Secrets et non-dits encombrants
    • Drames qui se répètent
      (Syndromes anniversaires)
    • Se délivrer de la culpabilité, de la honte et d’affects encombrants hérités de nos parents et aïeuls.
  • SE RECONNECTER AU CORPS : un corps quelquefois redouté, rejeté voire haï et ressenti ‘étranger’ quand il nous « déborde » par ses sensations désagréables et/ou ses actes compulsifs.
  • ÊTRE FIDÈLE À SOI, SES DÉSIRS ET BESOINS
    • Devenir plus autonome afin d’aimer et de s’aimer mieux…
    • Apprendre à savoir dire Non sans agressivité ni incohérence pour DIRE OUI à ce qui nous épanouit.
  • RETROUVER SA JOIE INTÉRIEURE ET SA CRÉATIVITÉ

      Les techniques de sophrologie et de médiation corporelle alliées à une parole ouverte et constructive en psychothérapie/psychanalyse, favorisent :

  • Un retour à l’ancrage et à l’apaisement des tensions,
  • L’appropriation (ou réappropriation) de sa sensorialité,
  • Une pensée cohérente et posée, moins envahie par les ruminations et angoisses,
  • Une relation meilleure et plus sereine à soi et aux autres.