SOMMAIRE

I – AVANT DE  DEVENIR PSYCHANALYSTE ET SOPHROLOGUE …

      De nature littéraire et artistique, j’ai été journaliste pendant + de 10 ans à Marseille puis Paris, pour des revues spécialisées dans le monde de la poésie (Société des Poètes Français et gens de lettres) et du sport (tennis, water-polo).

      Passionnée par les mots, je peux proposer pour certaines séances, le recours à l’écriture, aux contes, à la poésie, au dessin ou à la photographie.

 

 

II – LES MOTS ET LA CRÉATIVITÉ POUR UNE THÉRAPIE LUDIQUE ET DYNAMIQUE

      Intégrer l’imaginaire stimule le travail de co-création entre psy et patient et rend la thérapie plus ludique et dynamique.

      La créativité offre au sujet la possibilité de cheminer progressivement vers sa transformation intérieure pour tendre vers un meilleur équilibre et rapport à soi.

III – L’ENDOMÉTRIOSE ET MOI : DOULEURS ET INFERTILITÉ …

      Opérée 4 fois d’une endométriose sévère, je suis très investie dans l’aide à la gestion de ces douleurs.

      J’ai été touchée sévèrement par cette maladie. On a du m’enlever un morceau de vessie et protéger plusieurs mois, les uretères de mes reins envahis par les lésions. J’ai donc connu en mon corps propre ce qu’endurent toutes les Endogirls : ces souffrances impactent non seulement notre intimité, mais aussi notre cœur avec une palette d’émotions difficiles à gérer.

      La relation à soi et à son couple, est souvent éprouvée quand l’infertilité persiste et qu’on doit traverser les étapes parfois déshumanisées des PMA et FIV.

      Les techniques de sophrologie, la parole analytique et la créativité (écriture/dessin) ont été mes meilleurs recours pour gérer mon corps en souffrance et avancer dans le deuil de ne jamais devenir maman.

      J’applique leur pratique aujourd’hui dans mon cabinet, convaincue de leurs effets pour apaiser le corps comme le mental.

      Je suis persuadée, pour les expérimenter régulièrement, que le yoga, l’ostéopathie, l’acupuncture, la naturopathie, la kinésiologie, le reiki, pris en charge par des professionnels sérieux et engagés, sont de parfaits compléments à une thérapie.

     Je privilégie le travail en réseau, chaque professionnel ayant son domaine de compétences, afin de proposer une prise en charge globale de l’être, tant dans le corps que dans la psyché et l’émotionnel.

IV – MON PARCOURS DE SOPHROLOGUE
(Cliquer pour + d’infos sur la Sophrologie)

      J’ai découvert les bienfaits de la sophrologie il y a 12 ans, lors du cancer du sein d’un membre proche de ma famille : des séances lui étaient proposées pour mieux supporter son traitement.

      Cet évènement a marqué un tournant dans ma vie : j’ai décidé de suivre une formation en SOPHROLOGIE RELATIONNELLE (Centre de formation ZUILI sur Avignon).

      La sophrologie permet de soulager ponctuellement et de donner des techniques efficaces de respiration et relaxation dynamique pour vivre plus ’’en conscience’’, dans ’’l’ici et maintenant’’.

      Toutefois, pour traiter un problème à son origine et aider plus avant mes patients, je me suis rendue compte qu’il me fallait compléter mes connaissances.

      J’ai par conséquent intégré un cursus de 5 années sur Aix en Provence afin de devenir psychanalyste.

V – MON PARCOURS DE PSYCHANALYSTE
(Cliquer pour + d’infos sur la psychanalyse)

      Ma formation à l’IFAPP- Institut de Formation à la Psychanalyse et la Psychothérapie où je consulte aujourd’hui en cabinet, m’a captivée et a abouti à la soutenance de mon mémoire qui devrait être publié prochainement : « En deçà des mots : la réconciliation du corps et de la parole pour devenir sujet ».

 

 

1- UNE PSYCHANALYSE HUMANISTE QUI PREND EN COMPTE LE CORPS

      Le thème de mon mémoire était en parfaite cohérence avec mon objectif professionnel : accorder une place au corps dans la cure, tout en respectant les fondements freudiens.

      Le corps émet des messages et s’exprime : sa gestuelle en s’adressant à soi ou à l’autre, participe à notre construction identitaire et psychique. La parole elle aussi s’adresse : sans destinataire, elle ne signifie rien, elle tombe à plat, dans le vide.

      Dès le début de la vie, nous nous construisons dans la chair, en contact avec l’autre, la mère qui nous porte en son ventre. Notre corps vibre au rythme de ses éprouvés mais également des sons dont sa voix, qui devient familière dès in utero. Notre pensée se construit par identification, de même que notre langage.

Tout est imbriqué
et relié, le corps,
la sensorialité,
les mots, le langage
et la construction
de la pensée.

     Le corps possède la mémoire de nos traumas précoces (petite enfance voire in utero) et ceux subis tout au long de la vie (chocs émotionnels comme physiques, les uns impactant toujours les autres…).

      Corps réel, corps imaginaire, corps symbolique : au nouage de ces trois dimensions du corps se situe l’espace-temps de l’analyse pour les relier entre elles et donner du sens à ce qui a été éprouvé sans être conscientisé et/ou mis en mots.

C’est ainsi que je conçois l’approche thérapeutique : avoir une écoute attentive des mots de la personne mais également du non verbal, de tout ce que le corps émet et transmet.

2 – MES SPÉCIALISATIONS EN PSYCHOSOMATIQUE RELATIONNELLE, SEXOLOGIE CLINIQUE ET ANALYSE TRANSGÉNÉRATIONNELLE
(Cliquez pour + d’infos sur la spécialité)

      Nos symptômes et maladies pourraient être abordés comme des alertes, des signaux de ce qui a pu heurter l’être dans son unité et induire en lui un déséquilibre, que ce soit sur le plan biologique, psychique ou relationnel : chacun de ces 3 plans sont en interaction permanente et s’influencent les uns les autres.

      Pour moi, il faut considérer l’être humain dans chacune de ses dimensions : esprit, corps, culture, éducation, relations et histoire familiale.

      C’est pourquoi, j’ai poursuivi ma formation avec des spécialités complémentaires en psychosomatique, sexologie clinique et transgénérationnel.

      Elles me permettent d’affiner ma pratique et d’aborder chacun de mes patients dans sa diversité, ses différences et tout ce qui peut influencer sa façon d’être au monde.

 

 

 

3 – ÊTRE PSYCHANALYSTE SELON MOI
(Cliquez pour + d’infos sur la Psychanalyse)

3.1 – UN TRAVAIL SUR SOI POUR EXERCER EN CONSCIENCE ET BIENVEILLANCE

      Pour exercer en tant que psychanalyste, nous devons obligatoirement effectuer une analyse personnelle. La mienne a débuté il y a plusieurs années, afin de régler les conflits internes les plus importants.

      Selon moi, ce travail individuel en amont est primordial pour recevoir nos patients, dans un cadre sûr et efficace, qui ne sera pas ‘pollué’ par des problèmes non réglés et de fausses croyances.

      Avant de devenir psychanalyste, nous devons donc ‘plonger’ d’abord dans nos peurs, failles et obscurités : en accédant à une connaissance de soi suffisamment approfondie, nous pouvons accompagner nos analysants, dans la meilleure énergie qui soit, avec le plus de neutralité et bienveillance.

      Je crois sincèrement que le fait de vivre soi-même une psychanalyse, nous rend plus efficaces et vigilants dans notre pratique, dans le respect du code de déontologie de la FNP (Fédération Nationale de Psychanalyse).

      Une supervision m’est d’ailleurs régulièrement proposée : elle me permet de rester claire avec moi-même et mes patients, attentive et disponible dans mon domaine d’activité.

      Ce travail personnel me permet en tant que thérapeute, de me remettre en question régulièrement et de me former en permanence – (Freud disait que ‘l’analyse est sans fin’, au sens qu’on travaille sur soi toute la vie) – afin de prendre sans cesse du recul sur ma pratique.

 

 

3.2 – UNE RENCONTRE HUMAINE AVANT TOUT

      Je suis stimulée par chaque rencontre humaine, avec ses subtilités, sa richesse individuelle, son histoire à décoder, ses mécanismes de défense et peurs les plus profondes, alliés à des capacités épatantes de métamorphose et d’amour.

      Je prends soin d’adapter sans cesse ma pratique aux besoins et évolutions de mon analysant, pour essayer de lui apporter le meilleur de mon écoute, avec empathie et authenticité, sans jamais le juger ni l’influencer.

      L’enfant accède au sentiment d’exister grâce à la relation et aux interactions avec son entourage. C’est cette force constituante d’un « être avec », « d’être ensemble » évoquée par F. Veldman qui a cours dans une thérapie.

      Il s’agit de construire une histoire singulière en « co-création » entre le psy et le patient. Le jeu du squiggle[1]  de D. Winnicott, illustre parfaitement ce fait de créer à deux.

[1] D.Winnicott : le jeu du squiggle consiste pour le thérapeute à faire un tracé sans réfléchir, et l’enfant doit imaginer à son tour ce qu’il pourrait en faire pour représenter quelque chose, ajoutant son propre tracé. Le thérapeute et l’enfant s’alternent pour construire à partir de ce que l’autre trace. C’est une méthode qui fait appel à la spontanéité et permet au thérapeute de découvrir le monde imaginaire de l’enfant et de débloquer éventuellement ses résistances.

      Je suis persuadée, comme l’affirme F. Veldman qui a initié la Science de l’Affectivité avec l’haptonomie, que la communication entre deux individus passe par le fait « d’être avec » l’autre, ce qui passe bien sûr, par l’empathie.

Freud écrivait que l’empathie est une voie nécessaire
pour comprendre l’autre et contacter son expérience psychique.

L’empathie consiste à établir un lien d’être humain
à être humain
dans lequel l’un
est capable d‘entendre
la profonde souffrance de l’autre, au-delà des mots.

Dans ce partage d’affects qu’est la relation psychanalytique
et par le biais de son empathie, l’analyste pourrait, selon D. Widlöcher,
entendre ce que l’autre « n’entend » pas de lui-même.

      La thérapie est par conséquent un « accordage émotionnel » comme l’explique le Directeur de l’IFAPP, M.Ph. Schaller. Cet accordage serait permis par nos neurones miroirs[2]

[2] L’étude des neurones miroirs a permis de prouver que regarder faire un mouvement par autrui, active les mêmes états mentaux que le fait d’accomplir effectivement l’une ou l’autre de ces actions. Nous ne bougeons pas mais notre cerveau enregistre le mouvement comme si nous le faisions nous-mêmes, simplement en le percevant chez l’autre.

     La relation humaine empathique activerait les neurones miroirs qui seraient eux mêmes interconnectés.

      Cette découverte prouverait la plasticité de notre cerveau et la possibilité que toute structure psychique peut évoluer, surtout dans et par la relation qui est la base de notre construction.

Personne ne peut être « étiqueté » par une maladie qu’elle soit physique ou mentale
car rien n’est jamais figé :
l’être humain possède des capacités exceptionnelles
de résilience
et de transformation.

Le psychanalyste
A. Amsalek reprend les idées de Bergson comme quoi l’être humain meurt à chaque instant à celui qu’il était pour renaître en celui qu’il devient.

L’individu en crise ou souffrance, ne manque pas de potentiel :
sa libido, son imaginaire, sont juste endormis, amoindris et « emprisonnés ».

Ce que l’analyste peut voir, c’est un au-delà des symptômes et de cette paralysie momentanée du mouvement de la vie : il peut percevoir en l’analysant, l’être qui a envie de s’affirmer et de se déployer dans tous ses potentiels et créativités.

      L’analyse permet progressivement à l’analysant de découvrir sa lumière, en se confrontant et en acceptant ses parts d’ombre.

      Chaque personne possède en elle, les moyens de progresser :

      Vous seul(e) avez les clés pour ouvrir des portes qui vous semblent bloquées et faire tomber les murs qui paraissent vous enfermer.

      Mon rôle est de vous accompagner un bout de chemin, pour que vous vous révéliez à vous-même et puissiez avancer dans vos projets et désirs de vie, en adulte épanoui (e) et indépendant(e), qui (s’) aime et s’affirme sereinement.

VI)      MON CV

 

1- FORMATIONS

  • MÉMOIRE DE RECHERCHE soutenu à l’IFAPP : « EN DEÇÀ DES MOTS : LA RÉCONCILIATION NÉCESSAIRE DU CORPS ET DE LA PAROLE POUR DEVENIR SUJET ».
  • SPÉCIALISATION EN ANALYSE TRANSGÉNÉRATIONNELLE avec Mme Sophia SCHALLER, membre de l’Association N.Abraham et M.Torok, à l’IFAPP-CERCLE ATG sur LE PHÉNOMÈNE DES TRANSMISSIONS FAMILIALES ET L’APPROCHE CLINIQUE DANS L’APPROCHE GÉNÉRATIONNELLE.
  • FORMATION EN PSYCHOSOMATIQUE RELATIONNELLE au CRESMEP, dirigé par le Dr Pierre BOQUEL, Médecin psychosomaticien – spécialisé en psychiatrie et Thérapie relationnelle à médiation corporelle, Psychothérapeute inscrit au registre national des psychothérapeutes.
  • TITRE DE PSYCHOTHÉRAPEUTE ANALYTIQUE agréé par la FNP et obtenu à l’IFAPP.
  • SPÉCIALISATION EN SOPHROLOGIE OBSTÉTRIQUE APPLIQUÉE À LA MATERNITÉ ET PARENTALITÉ au centre Zuili.
  • SPÉCIALISATION EN SOPHROLOGIE DES ENFANTS au centre Zuili.
  • MÉMOIRE DE SOPHROLOGIE RELATIONNELLE SUR LE PERSONNEL SOIGNANT :
    « SOIGNER SANS SE ‘SOI-NIER’… »
    validé au centre Zuili.
  • STAGE DE FIN D’ETUDES EN SOPHROLOGIE au centre de rééducation « Notre dame du bon voyage» (CIOTAT) À L’ATTENTION DU PERSONNEL SOIGNANT COMPRENANT 10 PROFESSIONNELS DE LA MÉDECINE ET DU PARA MÉDICAL.
  • CERTIFICATION DE TECHNICIENNE EN PNL à l’EFPNL.
 
 

2- TITRES UNIVERSITAIRES

  • MAGISTÈRE MÉDIAS ET FORMATION ÉCONOMIQUE MFE devenu MJCO (MAGISTÈRE JOURNALISME ET COMMUNICATION DES ORGANISATIONS) – FEA U3 Aix-en-Provence
  • MAITRISE DE SCIENCES ÉCONOMIQUES – FEA U3 Aix-en-Provence
  • BTS ACTION COMMERCIALE – Lycée Périer Marseille
  • BAC A2 (LETTRES ET LANGUES DONT LATIN) – Lycée Périer Marseille.

 

 

3- EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES ET DE VIE

        La relation humaine et les mots ont toujours été au centre de ma vie et de ma passion.

 

       DEPUIS 2014, J’AI DÉCOUVERT EN LA PSYCHANALYSE UNE VÉRITABLE VOCATION.
       On dit qu’après le verbe « aimer », le verbe « aider » serait le plus beau des mots. J’ai été depuis mon enfance, toujours très sensible aux autres, ouverte à l’écoute bienveillante et attentive de leurs émotions, peurs et douleurs.

 

      DEPUIS 2010, JE PRATIQUE QUOTIDIENNEMENT LA SOPHROLOGIE, AUTANT PERSONNELLEMENT (elle m’a aidée à traverser les souffrances due à mon endométriose sévère) QUE PROFESSIONNELLEMENT, exerçant avec des patients de tous domaines d’activités et tout âge, débutant ou confirmé, en individuel ou en groupe.
Chaque outil de thérapie m’intéresse, je complète peu à peu mes acquis par des modules de formations. Mes prochains cursus se feront certainement en hypnose ericksonienne et EMDR.

 

     DE SEPT. 98 A JUIN 09 : JOURNALISTE LITTÉRAIRE (Sté des Poètes Français et Gens de Lettres – Paris 75006) ET SPORTIVE (divers médias dont la Provence en PQR) et CHARGÉE DE COMMUNICATION sur PARIS et MARSEILLE.

 

 

 

4- ACTIVITÉS EXTRA – PROFESSIONNELLES

     LE CHANT, LE THÉÂTRE, L’ÉCRITURE (Membre de l’Association des Belles Lettres – Publication d’un recueil de poèmes « Les envolées d’une Âme », divers écrits et dessins chaque année pour le plaisir de relier la psyché à la gestuelle, par la plume, le pinceau ou la voix).

     Je pratique régulièrement LA MÉDITATION (dont certaines séances avec mon chat, très ‘psy’ à sa façon par ses ronronnements bienfaisants 🙂 ) et de longues promenades au cœur de LA NATURE, essentielles pour me ressourcer.